LES JOLIS MOTS DE LA LANGUE FRANCAISE

[XY212]

Désolée, Il y a eu un doublon j'ai dû effacer ma phrase (elle figure sur le post précédent) ceci n'a donc rien à voir avec le sujet.

Bonne nuit à tous

[utilisateur_supprimé]

Gente Damoiselle yendami , nous ne nous pourfendrons point car malgré mon apparence de Peau-Rouge et l'apparence de shaman du Sieur Creo , nous sommes civilisés et laissons aux barbares ces méthodes désuètes et ridicules... on règlera ça plutôt au Dames ou aux Echecs par Bélisama !!! 🙂

[XYZ000]

Quoi quoi ? ? z'avez une écrevissse dans l'vol-au-vent ? ? une arraignée dans l'plafond ? ? Hé les camphriers et les schniqueurs... z'avez la g.ueule en coin de rue ou zêtes partis changer l'eau des olives ? ?

[XY212]

Bonjour à toute la coterie, 

On continue un peu avec les mots désuets.

Ce godelureau, ce gandin, est un fat, il joue de son face à main et de ses gants "beurre frais" pour séduire cette péronnelle.

[utilisateur_supprimé]

Saperlipopette ... j'entrave que dalle à tout ce galimatias... 🙂

[XYZ209]

Peu me chaut les chamailleries, chers compains, et suivons Dame Yenda ... Foi de Creo, il n'est point de meilleure compagnie pour festoyer ... ventre saint gris ! ... 😄

[mcp2]

Oyez, oyez braves gens des détrousseurs de grands chemins sévissent. Gare à vos bourses sieurs et à vos escarcelles gentes dames

[XY212]

Bonnes gens, allons vite quérir refuge au Château, ses machicoulis et échauguettes nous protégeront des malandrins. Toutefois, prenons garde de ne choir dans la chausse trappe.

[XY212]

Bonjour  Mcp, Noustous, Lajuliette, Créo, Fra,

Petite parenthèse, je me régale en nous relisant,

J'imagine la tête de nos contemporains si nous nous mettions à nous exprimer à nouveau

de cette façon. En attendant, nous exhumons de nos mémoires des mots très évocateurs

et charmants qui, grâce à vous, trouvent ici une seconde vie d'une manière fugace,

(encore un mot que j'aime bien) certes, mais bien agréable ma foi.

Merci à vous tous

[mcp2]

Bonjour citoyens, citoyennes

Tudieu ma mie vos calembredaines, vos forfaitures me laissent pantois. Souffrez que je ne vous embastille