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utilisateur_supprimé
Non applicable

Bonjour à tous et doublement Merci Yenda pour ce sujet!

 

C'est un régal de vous lire. Femme clignant de l'œil Langage bien perdu, malheureusement.

 

  

XYZ209
Contributeur Confirmé
😉
Au risque de vous paraître spécieux, Ferdinand, je vous prierai de ranger vos effets à la vesprée ...
XYZ209
Contributeur Confirmé
Erratum : Lire "Spépieux" ;)...
utilisateur_supprimé
Non applicable
Sur ma jambe de bois... que le grand cric me croque : les gau les gau gau... les Gaulois.!!!
mcp2
Contributeur Confirmé

Manants et manantes allons à la taverne faire ripaille pendant que les jocrisses piaillent et beuglent devant les saltimbanques

XY212
Contributeur Confirmé

Dame Mcp, votre langage me sied grandement, certes ce colporteur a dans sa roulotte nombre de bimbeloteries et colifichets.  Las,  je me satisferai de mes oripeaux.

XYZ000
Visiteur

Aaah... vous avez affuté les meules... hummm... j'irais bien un peu en bateau de cuir... là... pas aller manger du fromage... nan... pas çà... plutôt... aller arracher un pavé... et vous ? chers b.ande-à-l'aise ? ?

utilisateur_supprimé
Non applicable
Oh ! si j'étais en ce beau sein ravie
De celui-là pour lequel vais mourant ;
Si abec lui vivre le demeurant
De mes courts jours ne m'empêchait envie ;

Si m'accolant, me disait : Chère Amie,
Contentons-nous l'un l'autre, s'assurant
Que jà tempête, Euripe, ni courant
Ne nous pourra déjoindre en notre vie

Si, de mes bras le tenant accolé,
Comme du lierre est l'arbre encercelé,
La mort venait de mon aise envieuse,
Lors que souef plus il me ba.iserait,
Et mon esprit sur ses lèvres fuirait,
Bien je mourrais, plus que vivante, heureuse.

LOUISE LABÉ, 1555 🙂
XY212
Contributeur Confirmé

 

Sur sa robe de moire aux reflets évanescents,

elle posa ses mains diaphanes, son regard éthéré

se posant légèrement sur chaque chose...

utilisateur_supprimé
Non applicable
Un ptit dernier ?
De Clément Marot ,De celui qui ne pense qu'en s'amie

Toutes les nuits je ne pense qu'en celle
Qui a le corps plus gent qu'une pucelle
De quatorze ans, sur le point d'enrager ;
Et au dedans un coeur, pour abréger,
Autant joyeux qu'eut oncques Damoiselle.

Elle a beau teint, un parler de bon zèle,
Et le tétin rond comme une groselle :
N'ai-je donc pas bien cause de songer
Toutes les nuits ?

Touchant son coeur, je l'ai en ma cordelle,
Et son mari n'a sinon le corps d'elle :
Mais toutefois, quand il voudra changer,
Prenne le coeur ; et pour le soulager
J'aurai pour moi le gent corps de la belle
Toutes les nuits.

L'Adolescence clementine, 1532

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