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XYZ132
Contributeur Loisir
Ils sont venus ils sont tous la
des qu'ils ont entendu ce cri
elle va mourir la mama
Ils sont venus ils sont tous la
même ceux du sud de l'Italie
ta meme gorgio le fils maudit
avec des présents pleins les bras

tous les enfants jouent en silence
autour du lit ou sur le carreau
mais leurs jeux n'ont pas d'importance
c'est un peu leur dernier cadeau
. . À la mama....
On la réchauffe de bai sers
on lui remonte les oreillers
elle va mourir la mama
Sainte marie pleine de grâce
dont la statue est sur la place
bien sur vous lui tendez les bras
en lui chantant ave maria
. Ave maria
Ya tant d'amour de.souvenirs
autour de toi , toi la mama...
Ya tant de larmes et de sourires
à travers toi , toi la mama

et tous les hommes on eu si chaud
sur le chemin du.grand.soleil
elle va mourir la mama
qu'ils boivent frais le.vin nouveau
le bon vin de la bonne.treille
tandis que.s'entassent pêle mêle
sur le banc foulards et chapeaux

c'est drôle on ne se sent pas triste
près du.grand lit de l'affection
Ya même un oncle guitariste
qui joue en faisant attention
. À la mama
et les femmes se souvenant
des chansons tristes des veillees
elle va mourir la mama
tout doucement les yeux fermés
chantant comme on berce un enfant
après une bonne journée
pour qu'il sourit.en s'endormant
. Ave maria
Ya tant d'amour de souvenirs
autour de toi toi la.mama
Ya tt de larmes et de sourires
a travers toi toi la mama
que jamais jamais jamais
tu nous quittera.
Mr Charles Aznavour ...
XYZ132
Contributeur Loisir
Sur ta peau de velours
j'embrasserai ta peau
de mille et un bai sers
je poserai mes lèvres
sur tes grains de beauté
petits grains de café
sûr ta peau perle de lait
je poserai mes lèvres
sur tes tâches de rousseur
petits éclats de miel
à la.douce saveur
revient de soleil
je poserai ma bouche
sur ta peau de velours
puis j'embrasserai ta bouche
pour sceller notre amour .

Delphine Jouve.
XYZ132
Contributeur Loisir
Pour un temps.humble et profond
tu étais belle
par une.nuit desesperee
tu étais chaude
par un jour de désert
tu me semblait plus humide
quand les arbres sont dans les aquariums
du temps...
quand la mauvaise colère
du monde et dans les cœurs
quand le malheur est las de tonner
sur les feuilles .Tu étais douce ...
douce comme les.dents de l'ivoire
des morts...
et pur comme le.cailloux de sang
qui sortait. en riant des.lèvres....
de ton Âme . tu n'est plus.

Jean Jouve.
XYZ132
Contributeur Loisir

<p>bonne nuit mes poetes Sophia heart juju fra creo. et ceux qui passent  par le club des poetes disparus 

Bonne soiree.jpg
utilisateur_supprimé
Non applicable
Anna de Noailles (Paris, 1876-1933)

Princesse, contesse, poétesse et romancière... Anna de Noailles a pris, dans ses poèmes, les mots pour des princes, des comtes et des poètes, elle leur a demandé d'investir le coeur et ses tourments, le désir et ses rêves afin que rien dans l'écriture ne dénature l'aveu ou bien l'adieu au bord des lèvres, ni l'émotion, ou le refus qui tue. Brillante, lyrique dans le Paris mondain du début du siècle, des années vingt,.elle était d'origine roumaine par son père, grecque par sa mère.

par JJ Julaud

Cuckoo les Étoiles 🙂
XYZ000
Visiteur

Dans l’ombre tiède, où toute emphase s’atténue,
Sur les coussins, parmi la flore des lampas,
L’effeuillement des heures d’or qu’on n’entend pas
Vibrer ainsi qu’un son d’archet qui diminue.

 

S’affiner l’âme en une extase si ténue ;
Jouir son coeur sur une pointe de compas ;
Tenter parmi des flacons d’or d’exquis trépas ;
Ne plus savoir ce que sa vie est devenue…

 

Se retrouver, et puis se perdre en des pays,
Et des heures, en des pianos inouïs
Faire flotter comme du silence en arpèges ;

 

Dans les parfums et la fumée aux lents manèges
Jusqu’à son coeur et par ses yeux évanouis
Sentir tomber des baisers doux comme des neiges.

 

Confins, Albert Samain

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>oui fra .c'est vrai et c'est  elle cette princesse poetesse  ecrivain qui ecrivit  << Les forces Eternelles  .dont la mort du grand. Jean.Jaures . j'ai vu ce mort.puissant .en 1920 ....et  << La paix :  le deluge a cesse .mais les morts ne le sauront jamais ils sont.sans nouvelles >>  En 1918 .. 2 poemes que j'ai laisse sur .les poetes politiques je crois . et il y en a beaucoup d'autres . avec ceux de jean.jouve . ils se connaissaient bien . ainsi que J Guilbeaux .( l'assassinat de jaures . je ne peux.l'ecrire il est.trop long.ca passera pas. ... Le soir du 31 juillet  sur les 22h . on entendit  tout d'un coup  une sinistre et rauque clameur  unanime. ( Edition speciale !!!  assassinat.de jean.jaures.)   Je n'oublierai jamais .le retentissement  de cette clameur  en moi , la maree montante de cette rumeur  dans Belleville !  chaque fois que.s'elevait la vague , toute ma poitrine bondissait . Tout mon coeur battait  et je sentais partout un fourmillement  d'aiguilles. la declaration.de.guerre posterieure de quelques heures suscita  en moi  une emotion  d'intensite  incomparable  moins forte que l'assassinat de jean jaures je n'avait pas pour  JJaures  le culte  des militants socialistes . Jaures avait imprime au parti socialiste  et a l'internationale , une direction opportuniste  .mais ce bourgeois socialisant  et simple  etait peut etre le seul  depute veritablement foncierement honnete et le seul depute francais de.valeur ....la.voix de jaures etait la voix de la.fraternite et de la justice. 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>demandez belle.jeunesse le temps d'un souffle.d'un soupir pourquoi on t'ils une facheuse manie a tuer des hommes.de bien. jaures mais aussi Gandhi .MLKing   .federico garcia lorca etc...etc...et peut etre aussi pablo neruda.  je.vous.laisse le portrait du.sage Rabindranath Tagore .dont le discours tenu sur l'europe .a l'universite imperiale de Tokio.  en 1923.  il faut le.lire. c'est toujour d'actualite ri a change .discours prophetique . ( ami de gandhi ) 

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sophia57
Contributeur Confirmé

Bonsoir les poétes,Rosame,Juliette,Heart,Fra,CréoSmiley clignant de l'œil et toutes et tous,

 

A Virgile

 

Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître divin !
Viens, quittons cette ville au cri sinistre et vain, 
Qui, géante, et jamais ne fermant la paupière, 
Presse un flot écumant entre ses flancs de pierre, 
Lutèce, si petite au temps de tes Césars, 
Et qui jette aujourd'hui, cité pleine de chars, 
Sous le nom éclatant dont le monde la nomme, 
Plus de clarté qu'Athène et plus de bruit que Rome.

Pour toi qui dans les bois fais, comme l'eau des cieux, 
Tomber de feuille en feuille un vers mystérieux, 
Pour toi dont la pensée emplit ma rêverie, 
J'ai trouvé, dans une ombre où rit l'herbe fleurie, 
Entre Buc et Meudon, dans un profond oubli,
- Et quand je dis Meudon, suppose Tivoli ! -
J'ai trouvé, mon poète, une chaste vallée 
A des coteaux charmants nonchalamment mêlée, 
Retraite favorable à des amants cachés, 
Faite de flots dormants et de rameaux penchés, 
Où midi baigne en vain de ses rayons sans nombre 
La grotte et la forêt, frais asiles de l'ombre !

Pour toi je l'ai cherchée, un matin, fier, joyeux, 
Avec l'amour au coeur et l'aube dans les yeux ; 
Pour toi je l'ai cherchée, accompagné de celle 
Qui sait tous les secrets que mon âme recèle, 
Et qui, seule avec moi sous les bois chevelus, 
Serait ma Lycoris si j'étais ton Gallus.

Car elle a dans le coeur cette fleur large et pure, 
L'amour mystérieux de l'antique nature ! 
Elle aime comme nous, maître, ces douces voix, 
Ce bruit de nids joyeux qui sort des sombres bois,
Et, le soir, tout au fond de la vallée étroite, 
Les coteaux renversés dans le lac qui miroite, 
Et, quand le couchant morne a perdu sa rougeur, 
Les marais irrités des pas du voyageur, 
Et l'humble chaume, et l'antre obstrué d'herbe verte, 
Et qui semble une bouche avec terreur ouverte, 
Les eaux, les prés, les monts, les refuges charmants, 
Et les grands horizons pleins de rayonnements !

Maître ! puisque voici la saison des pervenches, 
Si tu veux, chaque nuit, en écartant les branches, 
Sans éveiller d'échos à nos pas hasardeux, 
Nous irons tous les trois, c'est-à-dire tous deux, 
Dans ce vallon sauvage, et de la solitude,
Rêveurs, nous surprendrons la secrète attitude. 
Dans la brune clairière où l'arbre au tronc noueux 
Prend le soir un profil humain et monstrueux, 
Nous laisserons fumer, à côté d'un cytise, 
Quelque feu qui s'éteint sans pâtre qui l'attise, 
Et, l'oreille tendue à leurs vagues chansons, 
Dans l'ombre, au clair de lune, à travers les buissons, 
Avides, nous pourrons voir à la dérobée 
Les satyres dansants qu'imite Alphésibée.

 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>bonsoir ma chere sophia. fidele au poste. bonne soiree aussi a juju heart fra et creo. alwena qui passe.des fois. ce soir pas tres envie d'ecrire. alors je passe un texte sur image . bonne nuit faites de beaux reves mes ami(es . 

cest-beau-mais-triste.jpg

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