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XYZ000
Visiteur

Belle nuit mes poètes Cœur il y a des moments lumineux dans notre vie qui ont plus d'éclat dans notre mémoire... ce post dure 10 mns, un peu moins, minutes de contemplation, de lenteur, de poésie... en pensant à toutes les pépites de nos vies... je nous vois, là, tous, au bord de la plage, regardant ce coucher de soleil... l o v e

http://www.youtube.com/watch?v=JgvKMnrig74&feature=player_detailpage

 

XYZ000
Visiteur

Aaaaah... me suis trompée de lien... c'est celui d'Alwena çà... la mer... fort et beau aussi... pour notre courage, nos échecs, nos victoires... nos résistances... quand même...

Là voilà celle que je voulais poster : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=VtwTCWV0E_M

A bientôt mes poètes, bee, fra, sister, heart, wes, and co Smiley clignant de l'œil

utilisateur_supprimé
Non applicable
C est très beau Juliette !

Il bacio

B.ai.ser ! rose trémière au jardin des caresses !
Vif accompagnement sur le clavier des dents
Des doux refrains qu'Amour chante en les coeurs ardents
Avec sa voix d'archange aux langueurs charmeresses !

Sonore et gracieux B.ai.ser, divin B.ai.ser !
Volupté nonpareille, ivresse inénarrable !
Salut ! l'homme, penché sur ta coupe adorable,
S'y grise d'un bonheur qu'il ne sait épuiser.

Comme le vin du Rhin et comme la musique,
Tu consoles et tu berces, et le chagrin
Expire avec la moue en ton pli purpurin...
Qu'un plus grand, Goethe ou Will, te dresse un vers classique.

Moi, je ne puis, chétif trouvère de Paris,
T'offrir ce bouquet de strophes enfantines :
Sois bénin et, pour prix, sur les lèvres mutines
D'Une que je connais, B.ai.ser, descends, et ris.

Paul Verlaine, Poèmes saturniens, 1866
Magnifique ! 🙂
utilisateur_supprimé
Non applicable

Bonjour mes ami(e)s Poètes,

 

Un grand merci @ Juju pour les liens envoyés. Même si j'en ai eu des frissons avec celui d'AlwenaCœur Véritable passionnée...Avec une certaine "peur" pour les risques que courent tous nos courageux marins-pêcheurs! Ton lien est magnifique également... A garder pour rejoindre le pays des songes. Quelle Voix, derrière!! Emouvante... Je la découvre. MERCI JujuCœur.  

sophia57
Contributeur Confirmé

Bonjour les poétes. Tout a fait d'accord avec Heart Cœur,Juju,j'aime beaucoup cette vidéo et cette voix ,merci pour ce partage Femme heureuse

 

 

Cascade subliminale


Les rochers s’enivrent de fraîcheur intemporelle
Gouttelettes éparpillées en écrins de plaisir
Pinceaux aux mille larmes embellies de transparence
Arc-en-ciel des désirs jaillissants de la montagne
Une histoire se dessine
journée ensoleillée
éclat des enfants
les yeux irisés par cette beauté inespérée
La descente
une marche après l’autre
l’enfer n’est pas là
La cascade a métamorphosé l’émotion
Alcool sublimé, volupté
L’Homme transformé en chérubin
patauge dans le bénitier de la terre
s’agenouillant
éperdu
parmi les crapauds aux regards cuivrés

 

Sybille Rembard, Beauté fractionnée, 2002

 

XYZ132
Contributeur Loisir
cockoo chers poetes.!!! ♥
La bride sur le cou : Claudie Olivier

La liberte t'appelle
D'un chant de tourelle .
Grise toi d'infini
Réponds à sa folie.

Envole toi mon Âme
Envole toi ma flamme
Mon imagination
La bride sur le cou

Fends l'air les nuages
Ton ivresse sauvage
te mêne en amoureuse
Aux rives merveilleuses

Aux rives solitaires
Ou la mer sombre est fière
S'abîme de pitié
Aux plages des regrets.

Chevauche les clairieres
Qu'importe si les pierres
T'arrachent les genoux
La bride sur le cou

Attarde toi reveuse
Aux rives sinueuses
De l'eau.des illusions
Mais prends garde aux frissons

La liberté t'appelle
d'un.chant de tourterelle
Grise toi d'infini
Réponds à sa folie

Oui mais à la minuit
Reviens Ô mon amie
Il fera bon chez nous
La bride sur le cou
XYZ132
Contributeur Loisir

<p>Les forces eternelles : Anna de Noailles-------Astres qui regardez  le  monde ou nous sommes ..Pures armees  au repos  dans la hauteurs des cieux .campements  eternels  legers   silencieux .Que pensez vous de voir s'aneantir  les hommes ?  A n'etre sublime aucun ne condescent :  Comme un cri  vers l'azur  , on voit  jaillir. le sang . Qui sur  nos coeurs contrits , lentement nous rabaissent - morts sacres  Portez nous  un plausible  secours !..Notre douleur , n'est pas la soeur de votre ivresse  : Vous mourez  ! Concevez que c'est un poid trop lourd , pour ceux qui  ...dans leur grave  et.brulante tristesse  on toujours confondu  la vie avec l'Amour..... 

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XYZ132
Contributeur Loisir

<p><P><p>Paubre Ame.tu.gemis ! Oui.la.guerre.impose , .entre la vie et toi. , ses.sanglantes cloisons  . La.bonte dans les cieux fait une immense pause .  Le monde  est obscurci  d'une.epaisse  saison . Et pourtant a travers  l'humaine.deraison ....L'amour  Epars et sur  respire en toutes choses  !  Ou veux tu.qu'il ait fui l'etre univerl   ?  Lui saturation et principes des mondes . Lui  joint a tout humain comme la mer au sel .........Agitateur  divin  qui transforme  et qui fonde ...Et qui de corps en corps <p>fait le souffle. eternel ?  Attend !!!  qu'elle soit l'inique.destinee . Qui de ces beaux vivants  fit des milliers  de morts ......Ether  debordera  de claires matinees . Les fleurs se dissoudront  en odorants transports . L'Amour  c'est l'infini ,  l'air ,  l'espace  le temps ....Songe a cela pauvre.Ame  Espere  Endure Attends ..........Mai- 1917 . Anna -de - Noailles . 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p><br data-mce-bogus="1">

B.nuit .jpg
utilisateur_supprimé
Non applicable
Laurence endormie

Cette odeur sur les pieds, de narcisse et de menthe
Parce qu'ils ont foulé dans leur course légère,
Fraîches écloses, les fleurs des nuits printanières,
Remplira tout mon coeur de ses vagues dormantes ;

Et peut-être très loin sur ses jambes polies,
Tremblant de la caresse encor de l'herbe haute,
Ce parfum végétal qui monte, lorsque j'ôte
Tes bas éclaboussés de rosée et de pluie ;

Jusqu'à cette rancoeur du ventre pâle et lisse
Où l'ambre et la sueur divinement se mêlent
Aux pétales séchés au milieu des dentelles
Quand sur les pentes d'ombre inerte mes mains glissent,

Laurence... jusqu'aux flux brûlants de ta poitrine,
Gonflée et toute crépitante de lumière
Hors de la fauve floraison des primevères
Où s'épuisent en vain ma bouche et mes narines,

Jusqu'à la senteur lourde de ta chevelure,
Éparse sur le col comme une étoile blonde,
Où tu as répandu tous les parfums du monde
Pour assouvir enfin la soif qui me torture !

Patrice de La Tour du Pin

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