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<p>merci cristallisation et fretello. et bonne soiree les scribes. pharaoniques sans oublier les muses sophia juju heart . aileekipas parla de poesies. .{•;•] Ah le robot ulyse. petite chose susceptible . Voudrait etre un homme ; mais il n'est qu'une machine ; Ne p.i.p.e. pas les mots de notre vocabulaire les mots ordinaires et encore moins l'humour que comprend mon chien . Il veut etre humain et ne connait pas l'amour . Il.se bloque est rouille pour un rien mais pour f.o.u.t.r.e. en corbeille nos petits mots d'humains. qu'il.confond en insultes ca il fait bien !!! c'est meme pas un malin il ne fait que betises ou farces je n'en sais rien . Mon robot s'appelle ulyse de boulons d'ecrous.et de v.i.c.e.s. un moteur a la place du coeur .il est ordinateur a posto messager....Mon robot.n'a pas.d'ame. et dans nos vies s'immscice . Il connait tous nos secrets meme ceux qu'on lui dit pas. il nous epie c'est un curieux... Un jour il trahira il est concu pour ca il ne p.i.p.e. pas un mot meme celui la.c'est un gros mot.... un jour je le quitterai . en femme.libre et je retrouverai. pour ecrire ; mes. crayons mes.bons.vieux.cahiers. j'ecrirai et je crierai vive les mots et la liberte. .et j'offrirai un dictionnaire a mon cher robot pour qu'il.apprenne les mots ordinaires pas vulgaires mais simples.et beaux car ce.sont nos mots . courants sans electricite ..a mon cher robot ulyse. <br>
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19/10/2013 12h48
Jean de La Fontaine (Château-Thierry,1621- Paris,1695)
D'abord jugé libertin pour des contes plutôt lestes publiés en 1665, Jean de La Fontaine, héritier de la charge de maître des Eaux et Forêts qu'occupait son père, dédie à Monseigneur le Dauphin, fils du roi Louis XIV, les six premiers livres des " fables choisies et mises en vers " qui paraissent sous son nom en 1668. Six autres livres suivent, jusqu'en 1693. Élu à l'Académie Française en 1683, La Fontaine renie ses contes licencieux avant de mourir le 13 avril 1695 - contes toujours lisibles aujourd'hui...
Ext. Petite anthologie de la poésie amoureuse
Jean-Joseph Julaud
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Je vous concocte un petit corner ''François DE CORNIÈRE'' ------------
Parfois - Souvent - comme
quelque chose
derrière les choses
les gestes
(mes gestes : corps et
regard) quotidiens
et chaque fois l'impossible
pari
à tenir.
&&&&&&&&&&&&&&&&&
Un journal mouillé
posé sur le volant
la radio sous la pluie
flash d'informations
nouvelles
prises au piège
tu traverses la rue
sur le pare brise les secondes
ruissellent
à n'en plus finir.
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Bonjour les poètes.... j'adore cette chanson de serge Reggiani
MA LIBERTE
Ma liberté
Longtemps je t´ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C´est toi qui m´as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n´importe où
Pour aller jusqu´au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune
Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t´avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j´ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J´ai changé de pays
J´ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance
Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m´as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m´as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m´as protégé
Quand j´allais me cacher
Pour soigner mes blessures
Ma liberté
Pourtant je t´ai quittée
Une nuit de décembre
J´ai déserté
Les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés
Je me suis laissé faire
Et je t´ai trahie pour
Une prison d´amour
Et sa belle geôlière
Et je t´ai trahie pour
Une prison d´amour
Et sa belle geôlière
S. Reggiani
Bonne soirée .... biz
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<p>bonsoir alwena . moustaki aussi la chante et juju adore. moi j'aime de regia. j'entends deja les commentaire vraiment de quoi aurions nous l'air elle.est jolie comment a t'il.fait. pour lui plaire elle au printemps lui en hiver. lalalala etc...
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<p>j'aurais pu mettre un s a les commentaires .c'etait me meme pris. . bon fra .ca c'est pas . le corbeau et le renard mais c'est tout.. comme. fanja va aimer....// Le silence precieux ...l'huitre s'ouvre pleinement a la pleine lune . Qud le.crabe l'apercoit il lui. lance un petit cailloux ou une petite algue et l'huitre ne pouvant plus se refermer lui sert d'aliment ......Tel est le destin de celui qui ouvre yrop la bouche restant ainsi a la merci de.celui qui l'ecoute. .LEONARDO.DA.VINCI.. v'est comme le corbeau qui en ouvrant le bec laissa tomber son fromage. dans la gu.eu.le de maitre renard qui l'ecouter. .mais mui avait ruse. en flatterie.
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lui aussi, quel poète...
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en **bleep**
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui **bleep** dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton c.u.l
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
La Mémoire et La Mer - Léo Ferré
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19/10/2013 20h16
Dans cette ville, les gens de plume ou oiseaux rares faisaient leur numéro dans une identique volière.
A très peu de choses près, c'était le même numéro.
Les uns écrivaient sur les autres, les autres écrivaient sur les uns. Mais "en réalité" la plupart d'entre eux n'écrivaient que sous eux.
Quand ils volaient, ou accomplissaient le simulacre de voler, avec ailes de géant et grands Pégazogènes, c'était toujours dans les Hauts Lieux où, paraît-il, souffle l'esprit.
Ils parlaient beaucoup entre eux.
Coiffés d'un grand éteignoir noir, auréolés d'une lumière indiciblement blême.
Ils ne parlaient que d'eux et que d'oeufs :
-Qu'avez-vous pondu, cher ami, cette année ?
Et ainsi de suite et pareillement dans un langage analogue.
Dès qu'on annonçait une omelette, ils venaient casser leurs oeufs.
Certains d'entre eux portaient de grandes manchettes et n'écrivaient que sur elles.
Les jours de fête à la Nouvelle Oisellerie Française on leur jetait parfois des graines, on leur offrait un gobelet.
Dans le grand jardin, une grande foule de grands solitaires, irréductibles, inséparables et néo-grégaires se rencontraient.
Et leur agressive et inéluctable solidarité, chacun étant pour l'autre d'une inéluctable indispensabilité, donnait lieu à de très profonds entretiens musicaux où tous ces oiseaux rares donnaient de concert des solos, et l'on entendait l'unique cri du choeur de leur unique voix de tête, qui d'un commun apparent désaccord chantait le contraire des uns sur le même air que les autres et le même air des autres sur le même contraire des uns.
Mais , dans cette ville, il y avait aussi des Moineaux.
J Prévert
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<p>ouh la ! j'ai pourtant pas siffle le champagne. mais . **bleep** les lettres sautes . sur ce clavier electro. et c'est trop petit j'ai mal aux yeux . et sur la tablette . j'ai pas d'images. je corrige. ( meme prix ) quand le crabe. ) trop ) le renard qui l'ecoutait. oui le ruse apres lui avoir bien brosse le plumage. .
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Les souvenirs ne sont qu'une mémoire à l'amour
Si tu m'oublies souviens-toi
Si je t'ai contrarié ou blessé, oublie
Si tu m'as aimé n'oublie jamais
Ne me hais pas
Souviens-toi des douceurs de l'amour.
&&&&&&&&&&&&&&&&
Parle-moi des aurores boréales et de la voie lactée
Fais-moi rêver
Dans les sentiers de la clairvoyance les fruits sont [sucrés]
Les pépins géniteux et les feuilles transparentes
Fais-moi rêver
De l'odeur que laisse ta plume
Entre Mars et Mercure
Le soleil et la Lune
Fais-moi rêver par le jour de ta face
Grâce classe
Trace.