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Bonsoir m
es poètes ma juju fra alw heart mcp yendi rapsode
Et notre chère sophia ...
PERE NOËL
avec ta grosse bedaine
Je t'ai longtemps attendu
J'ai souvent scruté le ciel
Sans chausses ni bas de laine
Je ne t'ai jamais apercu
Sur le rapport de l'ange ariel
Comme j'ai eu de la peine!
Parait que j'étais pas sage?
C'est ce que racontait mes parents...
Quand le père est au chômage
Ou bien malade ou mourant
Ca ne tombe guère du ciel
Les cadeaux la dinde l'argent!
Je déteste les usages,
Dès seigneurs et des grands
De l'invention du père noël,
Noël n'est que le visage
De la fête des enfants
Qu'ils soient turbulents ou sages
C'est l'âge de l'innocence,
Tout en étant pas des images
L'amour la paix la tolérance
Pas de mensonges saccages
Les cadeaux viennent des parents.
Avec amour sans embages
Je l'ai dit à mon enfant
C'est moi qui trime pour gages
Qui saigne et sue eau et sang
Cadeaux amour sont partages
Pas de père noël sans argent
Le capitalisme impudent
Même quand les enfants sont sages
les pères noël ne sont rois mages
N'offrent pas d'or ni encens
ni même myrrhe à l'enfant.
Comme dit la chanson de M.berger
Je veux penser à ceux
Qui sont loin de chez eux
Et qui ont dans leurs yeux
Quleque chose qui fait mal
A tous ces sans abris
Qui ont faim et froid
Et qui meurent sans un cri.
Les personnes qui souffrent
Sur un lit d'hôpital
A tous ceux qui s'enfuient
D'un pays ou l'on meurt
Qui bravent les océans
Et qui perdent la vie
Avant d'atteindre la terre
Qu'ils croyaient être le paradis.
Je ne gâche pas la fête ,
Mais en pensant à eux
Je me dis que j'ai bien de la chance
D'être la ou je suis.
J'aurais pu vivre ailleurs
J'aurais pu vivre pire
Et mon pire se trouve
Bien plus doux et meilleur
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22/12/2014 00h05
Un auteur que j'adore...
Toujours plus bas ! incessamment - inévitablement plus bas ! Je respirais douloureusement, et je m'agitais à chaque vibration. Je me rapetissais convulsivement à chaque balancement. Mes yeux le suivaient dans sa volée ascendante et descendante avec l'ardeur du désespoir le plus insensé ; ils se refermaient spasmodiquement au moment de la descente, quoique la mort eût été un soulagement - oh ! quel indiscible soulagement !
E A Poe, Le puits et le pendule (ext)
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Bonsoir les poètes
Dès que reviennent les rigueurs de l'hiver,
Tout mon jardin se déguise en volière,
Le saule pleureur devient un "mésangier",
Charmant refuge pour cette gent ailée.
Un rouge gorge, timidement s'avance,
De son oeil rond surveille la pitance.
Le chardonneret s'installe en seigneur,
Sur la mangeoire, chassant tous les gêneurs.
Le merle furtif et grand fanfaron,
Fouille les feuilles mortes avec entrain,
Ignorant même ce joli pinson,
Qui lorgne pour commettre son larcin.
Il n'est nul besoin d'aller au spectacle,
De ma fenêtre j'admire le miracle,
Que nous offre la Nature chaque jour.
Veillons sur elle, elle mérite notre amour.
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J'en appelle à tous les hommes.
Michelle torr
Devant ces yeux d'enfants
Qui ont froid qui ont faim
Dites vous que l'argent
Vous brulera les mains
Devant ces présidents
Qui dirigent le monde
Qui jouent au cerf-volant
Avec toutes les bombes
Devant les synagogues
Devant les cathédrales
Il n'y a qu'un seul dieu
Mais toujours plusieurs diables
Devant ceux qui n'ont rien
Devant ceux qui ont tout
S'il le faut je veux bien
Le chanter à genoux
J'en appelle à la tendresse
A l'amour s'il vous en reste
J'en appelle à tous les hommes
Que leur volonté soit bonne
J'en appelle à la tendresse
En plein coeur je vous l'adresse
Une chanson d'espoir en somme
J'en appelle à tous les hommes
Au front des monuments
j'écrivait pas l'histoire
Un soldat trop vaillant
C'est un ami qui part
Au nom de quelle folie
Au nom de quel pouvoir
On les envoie cueillir
Les lauriers de la gloire
J'ai le coeur d'une femme
Et les mots pour le dire
Il y a trop de l'arme
Dans ce monde en délire
Dites moi si je mens
Dites moi si j'ai tort
S'il le faut je veux bien
Vous le chanter plus fort.
J'en appelle à la tendresse
À l'amour s'il vous en reste
J'en appelle à tous les hommes
Que leur volonté soit bonne
J'en appelle à la tendresse
Une chanson. D'espoir en somme
Adressée à tous les hommes
Pour toi heart de la part du tel qui sonne tout seul .
Pour te dire bon anniversaire.
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Bonjour tous et toutes
Magnifique chanson de Georges Brassens
Elle est à toi, cette chanson,
Toi, l'Auvergnat qui, sans façon,
M'as donné quatre bouts de bois
Quand, dans ma vie, il faisait froid,
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
M'avaient fermé la porte au nez…
Ce n'était rien qu'un feu de bois,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un feu de joi’.
Toi, l'Auvergnat quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
Elle est à toi, cette chanson,
Toi, l'hôtesse qui, sans façon,
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim,
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
S'amusaient à me voir jeûner…
Ce n'était rien qu'un peu de pain,
Mais il m'avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
A la manièr' d'un grand festin.
Toi l'hôtesse quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise à travers ciel,
Au Père éternel.
Elle est à toi cette chanson,
Toi, l'Etranger qui, sans façon,
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris,
Toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
Riaient de me voir emmené…
Ce n'était rien qu'un peu de miel,
Mais il m'avait chauffé le corps, Bon après-midi à tous et toutes
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand soleil.
Toi l'Etranger quand tu mourras,
Quand le croqu'-mort t'emportera,
Qu'il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
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En effet une belle chanson de Georges .Et c'est la st Georges aujourd'hui .
Bonne fête les georges et il y en a de bien connus . Comme Brassens moustaki chelon etc.