Je n'aime pas dormir quand ta.figure habite
la nuit contre mon cou
car je.pense à la mort laquelle.vient.trop.vite
nous endormir.beaucoup.
je.mourrai, tu vivras et.c'est ce qui m'éveille !
Et t'il.une autre peur ?
Un jour ne plus.entendre.auprès de mon.oreille
ton haleine et ton cœur.
quoi.ce.timide oiseau replié par le.songe
deserterait .son.nid !
Son.nid d'ou notre corps.à.deux.têtes.s'allonge
par quatre pieds fini.
Puisse durer toujours une.si grande.joie
qui cesse le matin
et dont.l'ange chargé de construire.ma.voie
allege mon destin
légèr je suis leger sous.cette.tête.lourde
qui.semble .de.mon bloc
et reste en mon.abrit , muette.aveugle ,sourde
malgré .le.chant.du.coq
cette tête.coupée allée en.d'autres monde
ou.règne une autre.loi
plongeant.dans le.sommeil.de racines .profondes
loin de moi près de moi
ah! je.voudrais gardant ton profile sur ma.gorge
par ta bouche qui.dort
entendre de.tes.seins.la.délicate.forge
souffler .jusqu'à ma.mort.
Jean-Cocteau.
Dans la secheresse on decouvre les bonnes sources
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
