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et pourtant s'aimaient
mon cœur'enfant qui ne pensait pas.
toujours aussi clown ce .smartphone
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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Bonsoir les poétes,Squarabee,Juliette,Heart,Yendami,Alwena,Créo
,Fra,et toutes et tous ![]()
Lorand Gaspar
|
Non pas en exil.
Non pas étranger. Solidaire des hommes et des bêtes Solidaire des eaux, de la boue, de la roche et des champs des forêts et forêts de constellations. Graine de la grande tribu des sables et cailloux de toute cellule vivante, pétales de floraison dans le vent, solidaire de la joie et de la douleur. D’une patrie de pensée infinie de toute connaissance limitée clairières de notre pensée finie. Solidaire d’une commune ignorance de tous nos forages, explorations, recherches de notre désir infini de comprendre — de toute lumière et de promesse de lumière qu’elle témoigne d’elle-même ou de la nuit, de celle à certaines heures que respirent au désert de Judée les pierres — Solidaire d’une patrie de mouvement infini des limites de nos ici et maintenant innombrables Non, je ne suis pas en exil, chez moi dans le jaillissement dans la chute et dans l’usure dans le diamant et la pacotille chez moi dans la jubilation des eaux et des airs et comment parler du mouvement sans bornes sous les averses d’averses de photons les vitesses de tant de rayonnements dans la fraîcheur fragile du verger en fleur rencontré ce matin de février sans nombre dans l’éventail d’années et d’années de lumière — je suis le marcheur qui respire l’ouvert de tous ses poumons et dont le corps-cerveau compose des images, musiques et langues, je suis celui qui chante dans le chant hors métrique et hors vocabulaire les matins de toute vie et les soirs et les nuits de solitude peuplées de pensées qui s’envolent de leurs fenêtres de tout ce qui se déplie, telles les eaux que parcourt un battement d’aile dans la nuit de l’eau solidaire de celui qui dort, comme de celui qui écoute le poème au-dedans, au-dehors
|
Belle Nuit à toutes et tous ![]()
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JACQUES SALOME :
Que savons nous de l'amour ?
beaucoup.diront certains
et si peu en réalité , penseront .d'autres.
Mais chacun de nous pressent tout à.l'intérieur, que nous pouvons apprendre
de l'amour .
Ce qui est essentiel de notre existence .
Que l'amour.vécu en reciprocite
ajoute de la vie.à.la vie.
de l'émotion à l'émotion
une vibration particuliere .
à chacunes des heures d'une journée
et surtout une qualité.d'être au quotidien .
Qui illumine chaque rencontre
que la présence en nous.d'un amour est capable, de mobiliser des.énergies.
surprenantes et tenaces.
qu'il donne à chaque matin des couleurs
nouvelles.
qu'il illumineos.nuit de tous nos désirs
Qu'il ensemence nos rêves les plus.fous
et fortifie nos projets les plus.sérieux .
qu'il attendrit les cœurs les.plus impermeables
Qu'il donne à chacun l'envie de se repasser.
de donner et de partager- de tous ces possibles.ce pendant, meme. nous ne.le.savons.pas toujours
nous sentons .que.l'amour à besoins.de soins.
d'attention. et pour le dire.clairement
D'AMOUR. suite
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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<p>Oui l'amour.l'amour a besoin.d'etre aime protege soutenu. Vivifie pat une relation d'une qualite fondee sur.la.confiance le partage , l'abdon et la.creativite , pour.eviter de s'enfermer dans la routine , dans la repetition grise des.jours .Alors n'hesitons pas , osons apprendre de l'AMOUR , qu'il se.vit.au present comme." un present "J.SALOME.
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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<p><br data-mce-bogus="1">
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cuckoo ma swet bee ! ! ! bonsoir les poètes...
A Elvire
Oui, l’Anio murmure encore
Le doux nom de Cynthie aux rochers de Tibur,
Vaucluse a retenu le nom chéri de Laure,
Et Ferrare au siècle futur
Murmurera toujours celui d’Eléonore !
Heureuse la beauté que le poète adore !
Heureux le nom qu’il a chanté !
Toi, qu’en secret son culte honore,
Tu peux, tu peux mourir ! dans la postérité
Il lègue à ce qu’il aime une éternelle vie,
Et l’amante et l’amant sur l’aile du génie
Montent, d’un vol égal, à l’immortalité !
Ah! si mon frêle esquif, battu par la tempête,
Grâce à des vents plus doux, pouvait surgir au port ?
Si des soleils plus beaux se levaient sur ma tête ?
Si les pleurs d’une amante, attendrissant le sort,
Ecartaient de mon front les ombres de la mort ?
Peut-être?…, oui, pardonne, ô maître de la lyre !
Peut-être j’oserais, et que n’ose un amant ?
Egaler mon audace à l’amour qui m’inspire,
Et, dans des chants rivaux célébrant mon délire,
De notre amour aussi laisser un monument !
Ainsi le voyageur qui dans son court passage
Se repose un moment à l’abri du vallon,
Sur l’arbre hospitalier dont il goûta l’ombrage
Avant que de partir, aime à graver son nom !
Vois-tu comme tout change ou meurt dans la nature ?
La terre perd ses fruits, les forêts leur parure ;
Le fleuve perd son onde au vaste sein des mers ;
Par un souffle des vents la prairie est fanée,
Et le char de l’automne, au penchant de l’année,
Roule, déjà poussé par la main des hivers !
Comme un géant armé d’un glaive inévitable,
Atteignant au hasard tous les êtres divers,
Le temps avec la mort, d’un vol infatigable
Renouvelle en fuyant ce mobile univers !
Dans l’éternel oubli tombe ce qu’il moissonne :
Tel un rapide été voit tomber sa couronne
Dans la corbeille des glaneurs !
Tel un pampre jauni voit la féconde automne
Livrer ses fruits dorés au char des vendangeurs !
Vous tomberez ainsi, courtes fleurs de la vie !
Jeunesse, amour, plaisir,. fugitive beauté !
Beauté, présent d’un jour que le ciel nous envie,
Ainsi vous tomberez, si la main du génie
Ne vous rend l’immortalité !
Vois d’un oeil de pitié la vulgaire jeunesse,
Brillante de beauté, s’enivrant de plaisir !
Quand elle aura tari sa coupe enchanteresse,
Que restera-t-il d’elle? à peine un souvenir :
Le tombeau qui l’attend l’engloutit tout entière,
Un silence éternel succède à ses amours ;
Mais les siècles auront passé sur ta poussière,
Elvire, et tu vivras toujours !
Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques
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30/01/2014 22h23
à Limehouse
la nuit
et je me voyais double dans la glace de l'armoire à glass
c'est comme ça qu'ils appellent le frigidaire
en Angleterre
Et nous sommes sortis tous les deux
et toi qui n'étais pas là
tu étais tout de même au milieu
et une foule d'autres
étaient avec nous
des morts charmants et des vivants absents
C'était beau
Des petites filles dansaient au bord du fleuve
Pourpre et dorée
une pomme cuite glacée posée sur une table
sous un porche
éclairait toute une rue
Et il y avait des Chinois qui buvaient du thé
etoi j'en ai bu avec eux
Des forains sont arrivés
Nous avons bu de la bière ensemble
Leur singe m'a mordu la main
Les forains se sont excusés en souriant
Et il y avait une fille très belle
habillée comme une reine de dans le temps
C'était beau
Les forains on fait marcher la musiqus
La Tamise ressemblait au Rhône
Il y avait un remorqueur avec des chauffeurs de la Drôms
et puis Jacques l'Éventreur
avec
dans son regard idiot
la soie rouge d'un couteau
Et la Tamise ressemble de plus en plus au Rhône
Et c'était de plus en plus beau.
Jacques Prévert , LIMEHOUSE
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nan Nan ! tu otes la croix pfitt et les images viennent derriere . mobile.debile t'as compris ou c'est du chinois? cette fois j'y vais.
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.