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est il possible de rompre cette illusion ?
oui . La 3ème noble vérité établit justement qu'il est possible de briser le cercle de la souffrance de nous.liberer de ce karma et d'atteindre l'éveil . le nirvana .
c'est la que l'illusion se dissipe et que naît la conscience que tout est un ! et que nous faisons partie de un.
La 4ème noble vérité est l'octuple . sentier sacré qui mène à la suppression de la douleur, la fusion avec l'un et à l'elevation au nirvana c'est le chemin qui nous permet de devenir bouddha
et quel est ce chemin?
le.même que le.christ nous a montré et dont nous detournons sans cesse .
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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17/01/2014 20h04
Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée,
Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ?
Elle me regarda de ce regard suprême
Qui reste à la beauté quand nous triomphons,
Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime,
Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds?
Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ;
Elle me regarda pour la seconde fois,
Et la belle folâtre alors devint pensive.
Oh ! comme les oiseaux chantent au fond des bois !
Comme l'eau caressait doucement le rivage !
Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,
La belle fille heureuse, effarée et sauvage,
Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers.
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Comme les.ailes.du papillon
qui se meure lentement
cœur et poumons
éteignent.les battement
et respiration .
l'air se fait rare
la.vie.se barre en suspension
dans l'air vicié de pollution
qu 'avons.nous fait de planète terre
Nos poumons sont.en prison
dans notre.cage thoracique
gonfles de gaz carbonique ...
qu 'avons nous fait de mère terre...
asphyxiee d'oxyde de carbonne
elle appelle crie SOS "ozone "
pendant ce temps ...
les hommesD.E.C.O.N.N.E.N.T !
de l'atome.au nucleaire
cheminées qui fument
puits de pétrole au désert
qui brûlent...
planète terre tousse et écume
polluee et privée d'air.
qu'avons nous fait de planète terre.
par la main de l'incendiaire
nos forêts sont condamnees
et nos rivières assechees
quand l'ailleurs est innondé
des espèces en voies de disparition
à cause de la.pollution !!!
qu'avons nous fait à la planète
notre mère nourriciere ???
appelez vite SOS urgence
solution !!!
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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18/01/2014 11h24
Nous sommes leurs enfants : Des poussières d' étoiles éparpillées à la surface de la Terre et dans les mers.
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Hello, Squarabee Rosame Abeill et tous ...![]()
J'aime bien cette poésie :
Qui a pitié de l’humoriste ?
Que voilà étrange question !
Y a-t-il place à compassion
quand brille le jeu de l’artiste ?
Pourtant, libre à nous d’aller voir
de l’autre côté du miroir…
Car, de son mal, lourd est le poids,
pauvre humoriste que voilà !
Pour tout vous dire : Ne s’aimant pas,
se dénigrant, (rien n’y résiste !)
et se traitant de tous les noms,
(impressionnante en est la liste !)
et se noyant dans son mal-être,
mentalement s’envoyant paître,
se voyant en tout ridicule
et s’inventant mille raisons
pour se classer parmi les nuls,
il va, traînant son désarroi,
pauvre humoriste que voilà !
car, de son mal, lourd est le poids…
Puis, transformant ce qui l’accable
en propos débordants d’esprit,
il apparaît inénarrable,
soupape qui n’a pas de prix !
Dès lors, créateur de gaieté
truquant pour mieux se supporter,
il se raconte à sa façon,
l’exutoire étant tout trouvé.
Et, l’écoutant, nous nous tordons !…
Qui a pitié de l’humoriste ?
Que voilà étrange question !
Y a-t-il place à compassion
quand brille le jeu de l’artiste ?
Esther Granek, Synthèses, 2009
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<p>coucou alwena cheyenne ca va ? oui elle est jolie ta.poesie un peu aussi le sort.du clonw .qui nous fait rire meme quand au fond il pleure . bonne soiree a vous tous mes poetes .sophia juju fra heart yenda creo mongwai rapsode toi bien sur alw et tous les rytmeurs de passages . bises
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
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19/01/2014 00h48
Ô triste, triste était mon âme
À cause, à cause d'une femme
Je ne me suis pas consolé
Bien que mon coeur s'en soit allé,
Bien qus mon coeur, bien que mon âme
Eussent fuu loin de cette femme.
Je ne me suis pas consolé
Bien que mon coeur s'en soit allé.
Et mon coeur, mon coeur trop sensible
Dit à mon âme : Est-il possible
Est-il possible,- le fût-il -
Ce fier exil, ce triste exil ?
Mon âme dit à mon coeur : Sais-je
Moi-même que nous veut ce piège
D'être présents bien qu'exilés,
Encore que loin en allés ?
Paul Verlaine, Romances sans paroles, 1874
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19/01/2014 19h12
Le Pyrrhonisme amoureux
Je vous hais , je vous aime ; et dans ces sentiments
Mon cœur embarrassé ne connaît rien lui-même ;
Mais sans rien y connaître, il vous hait, il vous aime,
Et rien n'égale, hélas ! les peines que je sens.
Jean-François Dreux du Radier, Les heures de récreation, 1740