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<p>bonjours les poetes du club . juju sophia heart tara alwena creomotivation des mots. et fratello. bah fra cherche plus tes pigeons .ils sont la en face de chez moi ...ils roucoulent dans les lierres. la communication. au temps des pigeons voyageurs c'etait bien romantique. a condition de ne pas croiser un chasseur. .bon je vais leur dire de rentrer dans ton pigeonnier. que tu t'inquietes et les attends.
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<p>oups ! je viens de me faire pigeonner une 3eme fois . avec le poete Lorca je vais finir par croire que robocope n'aime la poesie gitane ou antalouse. . surtout en version mobile. mais je lacherai rien je recommence en web. .L'hymne a la femme Je la pris pres de la riviere .Car je la croyais sans mari .tandis qu'elle etait adultere ...ce fut la st jacques la nuit .par rendez vous et compromis..quand s'eteignirent les lumieres et s'allumerent les cri-cri. au coin des dernieres enceintes ... Je touchai ses seins endormis sa poitrine pour moi s'ouvrit, comme des branches de jacynthes et dans mes oreilles l'empoi , de ses jupons amidonnes, crissaient comme soie arrachee par dix couteaux a la fois ...Les cimes d'arbres sans lumiere sauf un rayon de lune clair grandissaient au bord du chemin , et tout un horizon de chien aboyaient loin de la riviere....Quand nous avons franchi les ronces les epines et les ajoncs , sous elle son chignon s'enfonce et fait un trou dans le limon . Quand ma cravatte fut otee , elle retira ses jupons .Puis quand j'otai mon ceinturon , quatre corsages. d'affilees .ni le nard ni l'escargot n'eurent jamais la peaux si fine .ni sous la lune les cristaux n'ont de lueurs plus cristallines., Ses cuisses s'enfuyaient sous moi , comme des truites effrayees , l'une moitie tout embrasee l'autre moitie pleine de froid. Cette nuit me vit galoper de ma plus belle chevauchee sur une pouliche nacree sans bride sans etrier....Je suis homme et ne peux redire , les choses qu'elle me disait Le clair entendement m'inspire de me montrer fort circonspect . Sale de bai.sers et de sable , du bord de l'eau je la sortis .Les iris balancaient leurs sabres contre les brises de la nuit ....Pour agir en pleine droiture , comme fait un loyal gitan , je lui fis don en la quittant d'un beau grand panier a couture.. Mais sans vouloir en etre eprise car parcequ'elle etait adultere et se pretendait sans mari quand nous allions vers la riviere.
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Mais c'est alors
en dérobade
un peu de lèvres
contre le
marbre et, au
sursaut du muscle,
cette frappe exacte
de l'eau par
la pierre.
comme l'ombre
tremblée de
l'ombre
et le choc et,
exacte, la saveur;
la fuite, le donc,
la désinence :
le tracé
des cheveux
ponctuant,
n'achevant
rien
ni dans
le désordre de la
voix me déchirant
la joue,
éparse trop
sûre encore
à l'acception
de ce qui
doucement
s'insère bouche et
mord
à la fin et déborde
encore
ou dessaisit
c'est alors
encore celà,
le seul et faible
écart accordé
[...]
Christian TARTING
("Il Salto'')
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<p>t'en fais pas fra si on est espionne . qu'on en peofite de dire ce qu'on pznse zt faire un pied de nez . a ces voyeuristes.
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19 heures
dans un wagon de 2ème classe
à Paris dans le métro
après une lente immersion
dans un fleuve commun
univers en gestation - mots
regards retenus
d''un esquif sans destination
connue
J'ai vu derrière tes yeux & leur
barrage obscur
au-delà des bas noirs
déchargés d'amadou
de la louve v u lvaire assoupie
au verso de la chair
jusqu'au crible des mains
théâtre passionné
& puis le mot ''tendresse''
comme échappé d'un cri.
Hervé MERLOT
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<p>il va falloir regler ce telephone . il me fait encore des farces ...La fourmi et la cigale ...Une fourmi fait l'ascenscion ...d'une herbe flexible . ...Elle ne se rend pas compte ...de la difficulte de son entreprise ...Elle s'obstine la pauvrette ...Dans son dessein delirant ...Pour elle c'est l'evrest ou le mont blanc ...ce qui devait arriver arriva ... elle chait patatratement ...Une cigale la recoit ...Dans ses pattes gentiment ...Eh ! "dit elle " point n'est la saison des sports alpinistes ! Vous ne vous etes pas fais mal j'espere ? Et maintenant dansons dansons . une bourree ou la matchiche ...Raymond Queneau ...
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<p>Le repos du guerrier. : Le renard ayant ete coursé toute la matinée ...Se trouva fort fatigué ...Mais maitre renard , en bon rusé , combina pour se reposer ...Il alla mine de rien franc et goguenard , se meler a la meute de chiens . qui trop occupés. a lever leur museau car distraits par le ramage d'un corbeau ne virent rien et maitre renard s'en trouva fort bien ....La morale de l'histoire ne jamais se laisser distraire dans sa mission pour ne pas se perdre en confusion . ou attention a la sanction . "" kidi takare flechir ""
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25/10/2013 08h13
VICTOR HUGO ( Besançon ),1802 - Paris,1885)
Homme politique, dessinnateur, pamphlétaire, grand voyageur, amoureux passionné, poéte enfin, poète surtout...
Victor Hugo, l'homme multiple, le géant, le révolté, le banni, est né sous le Consulat, a grandi sous l'Empire, s'est marié sous Louis XVIII, a connu Charles X, Louis-Philippe, a détesté Napoléon III, a vécu les premières années de la IIIe République. Et puis, aimé par sa maîtresse Juliette Drouet jusqu'à son dernier souffle, il en a reçu vingt mille lettres. Un tel homme sans doute, en vaut cent...
JJ Julaud