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Bonjour les poètes,Rosame ,et toutes et tous,bisous et belle journée
Sur Toi par ZAZIE
J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessure
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du cour
Mais c'est toujours
Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse
A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé
On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi
J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés
J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps
J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir
On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi
J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau
J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin
Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va
On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi
ET Comme une évidence de Grand corps malade
En fait, ça fait un moment que se croisent dans ma tête
Des mots et des douceurs qui pourraient faire un texte
Un truc un peu différent, je crois que ça parlerait d'elle
Faut avouer que dans mon quotidien, elle a mis un beau **bleep**
Mais j'ai un gros souci, j'ai peur que mes potes se marrent
Qu'ils me disent que je m'affiche, qu'ils me traitent de canard
C'est cette pudeur misogyne, croire que la fierté part en fumée
Quand t'ouvres un peu ton coeur, mais moi cette fois je veux assumer
J'ai un autre problème, il est peut-être encore plus lourd
C'est que t'as pas droit à l'erreur quand t'écris un texte d'amour
Moi, les trois prochains couplets, je voudraient que ça soit des bombes
Si j'écris un texte sur elle, je voudrais que ça soit le plus beau du monde
Elle mérite pas un texte moyen, j'ai la pression, ça craint
Fini de faire l'intéressant, avec mes voyages en train
Là c'est loin d'être évident, moi je sais pas comment on fait
Pour décrire ses sentiments, quand on vit avec une fée
Il faut avouer qu'elle a des yeux, ils sont même pas homologués
Des fois ils sont verts, des fois jaunes, je crois même que la nuit ils sont violets
Quand je m'enfonce dans son regard, je perds le la je n'touche plus le sol
Je me perds profondément, et j'oublie exprès ma boussole
Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la Terre de tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées
Je comprends pas tout ce qui se passe, y a pleins de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien n'a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité
Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent
Dans notre histoire rien n'est écrit, mais tout sonne comme une évidence
J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Mais si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y a une sirène qui dort dns ma chambre
J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux
Y a des sourires et des soupires, y a des fou rires à en mourir
On peut s'ouvrir et s'en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs
Les pièges de l'avenir nous attendent, mais on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux
Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe
Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe
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<p>. Bonjour chere sophia . c'est superbe ! JE NE CONNAISSAIS PAS. ...merci de nous la .faire decouvrir ...<< Y a qu'une brosse a dents bleue dans la salle de bain ...plus un bol de cafe sur la table de la salle a manger ...Les enfants ont grandi , Les enfants sont heureux , Tous les deux sont en ballade ... Et la maison s'endort et la maison s'ennuie , de n'avoir plus de bruits ni de portes qui claquent ...Les chats n'ont que sommeil les chats sont langoureux., Ils ont perdu leurs jeux .et le gout de se battre.........Si ma vie continue de voguer. d'ile en ile ; elle se mefie des vagues et des marins du port , Car elle sait que l'amour est son talon d'Achille ; Et qu'a toutes ses griffes ...Elle se.dechire encore. !. Y a plus d'lampe allumee quand je rentre le soir et seul'ment des miroirs qui m'appellent... Y a plus qu'un oreiller pour me dire bonsoir , quand mon corps et mon coeur ont la fievre ...Le telephone est muet , Le telephone est sourd de tous les mots d'amour echoues sur mes levres ....La solitude vient. La solitude est. la....Mais elle ne m'aura pas ; Je lui ferai la guerre... Si ma vie continue ....On.est quelques millions de somitaires a travers la vie , coeur en jachere ....On est quelquees millions a faire semblant d'etre des millionnaires de sentiments...<<Mannick>>
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<p>C'est dans une ile qu'ils etaient nes , En mediterranee ....La Sicile ......Quand les Siciliens se sont retrouves ; Chacun s'en souvient ....A Rome ......C'etait le grand soir , Ils sont arrives dans des voitures noires ....Les hommes ...Avant que la lune ai fini sa ronde Ils ont fait fortune en quelques secondes .....Oui ; mais lorsqu'il ont cherche cet homme dans l'ombre Alors j'ai pleure .Quand les Siciliens ont tire sur lui .... Chacun se souvient a Rome e nuit... DALIDA.
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Paroles de la chanson Adieu Angelina :
Adieu Angelina
Les cloches de la couronne
Ont été volées à l'aube
Je les entends qui sonnent
Et je me dépêche, je dois les rattraper
Adieu Angelina
Le ciel est en feu et je m'en vais
Ce n'est pas la peine d'en faire une affaire
Ce n'est pas la peine d'ameuter toute la terre
C'est une table vide sur le bord de la mer
Adieu Angelina
Le ciel a tremblé, je dois m'en aller
Les rois et les reines quittent la basse-cour
Deux cents bohémiennes sont entrées à la cour
Dans la salle du tout-va, rien ne va plus pour
moi
Adieu Angelina
Le ciel s'écroule, je te verrai plus tard
Regarde ces pirates dans la voie lactée
Qui tirent sur des boîtes avec un canon scié
Les voisins applaudissent, poussent des cris de
joie
Adieu Angelina
Le ciel se décolore, je dois me sauver
King Kong et les elfes vont danser sur les toits
De longs tangos typiques tandis que de leurs
doigts
Les maquilleurs s'escriment à fermer les yeux de
la mort
Adieu Angelina
Le ciel est trop sombre, je dois m'échapper
Les mitrailleuses crépitent,les poupées
mobilisent
Des bombes en plastique éclatent dans les
églises
Appèle-moi comme tu veux
Je ne discute pas
Mais adieu Angelina
Le ciel se déchaîne, je vais chercher la paix
(Bob Dylan / P. Delanoë / H. Aufray )
Bon week-end à bientôt... bisous
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Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Ni le bien qu'on m'a fait,
ni le mal;
tout ça m'est bien egal!
Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
C'est payé,
balayé,
oublié.
Je me fous du passé!
Avec mes souvenirs
j'ai allumé le feu!
Mes chagrins, mes plaisirs,
je n'ai plus besoin d'eux!
Balayés les amours
avec leurs trémolos,
balayer pour toujours!
Je repars à zéro.
Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Ni le bien qu'on m'a fait,
ni le mal;
tout ça m'est bien egal!
Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Car ma vie,
car me joies
aujourd'hui
ça commence avec toi!
E. Piaf
Belle soirée ma sweet bee, et à tous...
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Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates on les pendra
V'la trois cents ans qu'ils nous promettent Qu'on va nous accorder du pain V'la trois cents ans qu'ils donnent des fêtes Et qu'ils entretiennent des catins V'la trois cents ans qu'on nous écrase Assez de mensonges et de phrases On ne veut plus mourir de faim
Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates on les pendra
V'la trois cents ans qu'ils font la guerre Au son des fifres et des tambours En nous laissant crever d'misère Ça n'pouvait pas durer toujours V'la trois cents ans qu'ils prennent nos hommes Qu'ils nous traitent comme des bêtes de somme Ça n'pouvait pas durer toujours
Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates on les pendra
Le châtiment pour vous s'apprête Car le peuple reprend ses droits Vous vous êtes bien payé nos têtes C'en est fini Messieurs les rois Il n' faut plus compter sur les nôtres On va s'offrir maint'nant les vôtres Car c'est nous qui faisons la loi
Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les aristocrates on les pendra |
Bon dimanche ma sweet bee... bizzzzzzzzz...
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25/08/2013 09h33
Dieu te sourit complaisamment.
Race de Caïn, dans la fange
Rampe et meurs misérablement
Race d'Abel, ton sacrifice
Flatte le nez du Séraphin !
Race de Caïn, ton supplice
Aura-t-il jamais une fin ?
Race d'Abel, vois tes semailles
Et ton bétail venir à bien ;
Race de Caïn, tes entrailles
Hurlent la faim comme un vieux chien.
Race d'Abel, chauffe ton ventre
À ton foyer patriarcal ;
Race de Caïn, dans ton antre
Tremble de froid, pauvre chacal !
Race d'Abel, aime et pullule !
Ton or fait aussi des petits.
Race de Caïn, coeur qui brûle,
Prends garde à ces grands appétits.
Race d'Abel, tu crois et broutes
Comme les punaises des bois !
Race de Caïn, sur les routes
Traîne ta famille aux abois.
Ah ! race d'Abel, ta charogne
Engraissera le sol fumant !
Race de Caïn, ta besogne
N'est pas faite suffisamment ;
Race d'Abel, voici ta honte :
Le fer est vaincu par l'épieu !
Race de Caïn, au ciel monts
Et sur la terre jette Dieu !
C Baudelaire - Abel et Caïn
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Poème de la vague
Le rivage puissant est mon bien-aimé,
et je suis son amante.
Nous sommes enfin réunis par l'amour, et
ensuite la lune me sépare de lui.
Je vais à lui en hâte et repars
à contrecoeur avec plein
de petits adieux.
Je pars rapidement de derrière
l'horizon bleu pour répandre l'argent de
mon écume sur l'or de son sable, et
nous nous mêlons dans l'éclat en fusion.
J'apaise sa soif et submerge son
coeur ; il adoucit ma voix et soumet
mon tempérament.
A l'aube, je récite les règles de l'amour dans
ses oreilles, et il m'embrasse avec ardeur.
Khalil Gibran
Belle nuit ma sweet bee... Bô rêv *dmc