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sophia57
Contributeur Confirmé

Bonjour les poètes,Rosame Cœur,et toutes et tous,bisous et belle journée

Sur Toi par ZAZIE

J'écris sur ce que j'endure
Les petites morts, sur les blessure
J'écris ma peur
Mon manque d'amour
J'écris du cour
Mais c'est toujours

Sur ce que je n'ai pas pu dire
Pas pu vivre, pas su retenir
J'écris en vers
Et contre tous
C'est toujours l'enfer
Qui me pousse

A jeter l'encre sur le papier
La faute sur ceux qui m'ont laissée
Ecrire, c'est toujours reculer
L'instant où tout s'est écroulé

On n'écrit pas
Sur ce qu'on aime
Sur ce qui ne pose pas
Problème
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris sur ce qui me blesse
La liste des forces qu'il me reste
Mes kilomètres de vis manquée
De mal en prose, de vers brisés

J'écris comme on miaule sous la lune
Dans la nuit, je trempe ma plume
J'écris l'abcès
J'écris l'absent
J'écris la pluie
Pas le beau temps

J'écris ce qui ne se dit pas
Sur les murs, j'écris sur les toits
Ecrire, c'est toujours revenir
A ceux qui nous ont fait partir

On n'écrit pas qu'on manque de rien
Qu'on est heureux, que tout va bien
Voilà pourquoi
Je n'écris pas
Sur toi
Rassure-toi

J'écris quand j'ai mal aux autres
Quand ma peine ressemble à la votre
Quand le monde me fait le gros dos
Je lui fais porter le chapeau

J'écris le blues indélébile
Ça me paraît moins difficile
De dire à tous plutôt qu'à un
Et d'avoir le mot de la fin

Il faut qu'elle soit partie déjà
Pour écrire " ne me quitte pas "
Qu'ils ne vivent plus sous le même toit
Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va

On n'écrit pas la chance qu'on a
Pas de chanson d'amour quand on en a
Voilà pourquoi, mon amour
Je n'écris rien
Sur toi
Rassure-toi

 

 

 

ET Comme une évidence de Grand corps malade

 

En fait, ça fait un moment que se croisent dans ma tête
Des mots et des douceurs qui pourraient faire un texte
Un truc un peu différent, je crois que ça parlerait d'elle
Faut avouer que dans mon quotidien, elle a mis un beau **bleep**

Mais j'ai un gros souci, j'ai peur que mes potes se marrent
Qu'ils me disent que je m'affiche, qu'ils me traitent de canard
C'est cette pudeur misogyne, croire que la fierté part en fumée
Quand t'ouvres un peu ton coeur, mais moi cette fois je veux assumer

J'ai un autre problème, il est peut-être encore plus lourd
C'est que t'as pas droit à l'erreur quand t'écris un texte d'amour
Moi, les trois prochains couplets, je voudraient que ça soit des bombes
Si j'écris un texte sur elle, je voudrais que ça soit le plus beau du monde

Elle mérite pas un texte moyen, j'ai la pression, ça craint
Fini de faire l'intéressant, avec mes voyages en train
Là c'est loin d'être évident, moi je sais pas comment on fait
Pour décrire ses sentiments, quand on vit avec une fée

Il faut avouer qu'elle a des yeux, ils sont même pas homologués
Des fois ils sont verts, des fois jaunes, je crois même que la nuit ils sont violets
Quand je m'enfonce dans son regard, je perds le la je n'touche plus le sol
Je me perds profondément, et j'oublie exprès ma boussole

Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la Terre de tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées

Je comprends pas tout ce qui se passe, y a pleins de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien n'a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité

Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent
Dans notre histoire rien n'est écrit, mais tout sonne comme une évidence

J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Mais si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y a une sirène qui dort dns ma chambre

J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux

Y a des sourires et des soupires, y a des fou rires à en mourir
On peut s'ouvrir et s'en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs
Les pièges de l'avenir nous attendent, mais on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux

Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe

Et si c'est vrai que les mots sont la voix de l'émotion
Les miens prennent la parole pour nous montrer sa direction
J'ai quitté le quai pour un train spécial, un TGV palace
On roule à 1000km/h, au dessus de la mer, en première classe

 

 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>. Bonjour chere sophia . c'est superbe !  JE NE CONNAISSAIS PAS. ...merci de nous la .faire  decouvrir ...<< Y a qu'une brosse  a dents bleue dans la salle de bain ...plus un bol de cafe sur la table  de la salle a manger ...Les enfants ont grandi , Les  enfants sont heureux  , Tous les deux sont en ballade ... Et la maison  s'endort et la maison s'ennuie  , de n'avoir plus de bruits ni de portes qui claquent  ...Les chats n'ont que sommeil  les chats sont langoureux., Ils ont perdu leurs jeux .et le gout  de se battre.........Si ma vie continue  de voguer. d'ile en ile  ;  elle se mefie des  vagues  et des marins  du port ,  Car elle sait  que l'amour est son talon d'Achille ; Et qu'a toutes  ses griffes  ...Elle se.dechire encore. !. Y a plus  d'lampe allumee quand je rentre  le soir  et seul'ment  des miroirs  qui m'appellent...  Y a plus qu'un oreiller pour me dire  bonsoir  ,  quand mon corps et mon coeur  ont la fievre ...Le telephone  est muet  ,  Le telephone est sourd  de tous les mots  d'amour  echoues sur mes levres ....La solitude  vient.   La solitude  est. la....Mais elle ne m'aura pas ;  Je lui  ferai la guerre... Si ma vie continue ....On.est quelques millions  de somitaires  a travers la vie ,   coeur  en jachere ....On est quelquees millions  a faire semblant  d'etre  des millionnaires  de sentiments...<<Mannick>>

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XYZ132
Contributeur Loisir

<p>pardon . quemques millions.de solitaires. . sacre farceur .  smart -Phone 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>C'est dans une ile qu'ils etaient nes ,  En mediterranee ....La Sicile  ......Quand les Siciliens  se sont retrouves ;  Chacun s'en  souvient ....A Rome ......C'etait le grand soir ,  Ils sont arrives  dans des voitures noires ....Les hommes ...Avant que la lune ai  fini sa ronde  Ils ont fait  fortune  en quelques secondes .....Oui ;  mais lorsqu'il ont cherche  cet homme dans l'ombre   Alors j'ai pleure .Quand  les Siciliens  ont tire  sur lui .... Chacun se souvient  a Rome  e nuit... DALIDA. 

Alwena
Contributeur Master

Paroles de la chanson Adieu Angelina :



Adieu Angelina

Les cloches de la couronne

Ont été volées à l'aube

Je les entends qui sonnent

Et je me dépêche, je dois les rattraper

Adieu Angelina

Le ciel est en feu et je m'en vais



Ce n'est pas la peine d'en faire une affaire

Ce n'est pas la peine d'ameuter toute la terre

C'est une table vide sur le bord de la mer

Adieu Angelina

Le ciel a tremblé, je dois m'en aller



Les rois et les reines quittent la basse-cour

Deux cents bohémiennes sont entrées à la cour

Dans la salle du tout-va, rien ne va plus pour
moi

Adieu Angelina

Le ciel s'écroule, je te verrai plus tard



Regarde ces pirates dans la voie lactée

Qui tirent sur des boîtes avec un canon scié

Les voisins applaudissent, poussent des cris de
joie

Adieu Angelina

Le ciel se décolore, je dois me sauver



King Kong et les elfes vont danser sur les toits

De longs tangos typiques tandis que de leurs
doigts

Les maquilleurs s'escriment à fermer les yeux de
la mort

Adieu Angelina

Le ciel est trop sombre, je dois m'échapper



Les mitrailleuses crépitent,les poupées
mobilisent

Des bombes en plastique éclatent dans les
églises

Appèle-moi comme tu veux

Je ne discute pas

Mais adieu Angelina

Le ciel se déchaîne, je vais chercher la paix

 



(Bob Dylan / P. Delanoë / H. Aufray )




Bon week-end à bientôt... bisous Cœur Femme heureuse

 

 

 

XYZ132
Contributeur Loisir

<p>merci douces. poetesses. passez une bonne nuit . etoilees . et remplies de beaux songes . bises .  a tous. 

Arc-en-ciel de nuit.jpg
XYZ000
Visiteur

Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Ni le bien qu'on m'a fait,
ni le mal;
tout ça m'est bien egal!

Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
C'est payé,
balayé,
oublié.
Je me fous du passé!

Avec mes souvenirs
j'ai allumé le feu!
Mes chagrins, mes plaisirs,
je n'ai plus besoin d'eux!
Balayés les amours
avec leurs trémolos,
balayer pour toujours!
Je repars à zéro.

Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Ni le bien qu'on m'a fait,
ni le mal;
tout ça m'est bien egal!

Non, rien de rien,
non, je ne regrette rien!
Car ma vie,
car me joies
aujourd'hui
ça commence avec toi!

 

E. Piaf

 

Belle soirée ma sweet bee, et à tous...

 

XYZ000
Visiteur

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates à la lanterne

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates on les pendra

 

V'la trois cents ans qu'ils nous promettent

Qu'on va nous accorder du pain

V'la trois cents ans qu'ils donnent des fêtes

Et qu'ils entretiennent des catins

V'la trois cents ans qu'on nous écrase

Assez de mensonges et de phrases

On ne veut plus mourir de faim

 

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates à la lanterne

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates on les pendra

 

V'la trois cents ans qu'ils font la guerre

Au son des fifres et des tambours

En nous laissant crever d'misère

Ça n'pouvait pas durer toujours

V'la trois cents ans qu'ils prennent nos hommes

Qu'ils nous traitent comme des bêtes de somme

Ça n'pouvait pas durer toujours

 

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates à la lanterne

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates on les pendra

 

Le châtiment pour vous s'apprête

Car le peuple reprend ses droits

Vous vous êtes bien payé nos têtes

C'en est fini Messieurs les rois

Il n' faut plus compter sur les nôtres

On va s'offrir maint'nant les vôtres

Car c'est nous qui faisons la loi

 

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates à la lanterne

Ah ça ira ça ira ça ira

Les aristocrates on les pendra

 

Bon dimanche ma sweet bee... bizzzzzzzzz...

utilisateur_supprimé
Non applicable
Race d'Abel, dors, bois et mange;
Dieu te sourit complaisamment.

Race de Caïn, dans la fange
Rampe et meurs misérablement

Race d'Abel, ton sacrifice
Flatte le nez du Séraphin !

Race de Caïn, ton supplice
Aura-t-il jamais une fin ?

Race d'Abel, vois tes semailles
Et ton bétail venir à bien ;

Race de Caïn, tes entrailles
Hurlent la faim comme un vieux chien.

Race d'Abel, chauffe ton ventre
À ton foyer patriarcal ;

Race de Caïn, dans ton antre
Tremble de froid, pauvre chacal !

Race d'Abel, aime et pullule !
Ton or fait aussi des petits.

Race de Caïn, coeur qui brûle,
Prends garde à ces grands appétits.

Race d'Abel, tu crois et broutes
Comme les punaises des bois !

Race de Caïn, sur les routes
Traîne ta famille aux abois.

Ah ! race d'Abel, ta charogne
Engraissera le sol fumant !

Race de Caïn, ta besogne
N'est pas faite suffisamment ;

Race d'Abel, voici ta honte :
Le fer est vaincu par l'épieu !

Race de Caïn, au ciel monts
Et sur la terre jette Dieu !

C Baudelaire - Abel et Caïn
XYZ000
Visiteur

Poème de la vague

 

Le rivage puissant est mon bien-aimé,
et je suis son amante.
Nous sommes enfin réunis par l'amour, et
ensuite la lune me sépare de lui.
Je vais à lui en hâte et repars
à contrecoeur avec plein
de petits adieux.

Je pars rapidement de derrière
l'horizon bleu pour répandre l'argent de
mon écume sur l'or de son sable, et
nous nous mêlons dans l'éclat en fusion.

J'apaise sa soif et submerge son
coeur ; il adoucit ma voix et soumet
mon tempérament.
A l'aube, je récite les règles de l'amour dans
ses oreilles, et il m'embrasse avec ardeur.

Khalil Gibran

 

Belle nuit ma sweet bee... Bô rêv *dmc

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