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XYZ422
Contributeur Confirmé
Normal! C'est les reflets argentés venusiens Qui twist sans gaine sur les flots. Quel tableau!
utilisateur_supprimé
Non applicable
Chaînes

Ôtez-moi ces chaînes
Que je vois la ville
Que je connaisse encore
Ces reines de beauté
Qui défilaient la nuit
Sur des chars allumés
Tandis que des capsules
De Brahma éventées
Jonchaient le macadam
Dans l'asphalte incrustées
Comme autant de médailles
Qui les auraient tentées
Ôtez-moi ces chaînes
Que je voie l'été
Que je goûte à nouveau
À ce que j'ai goûté
Que je voie la chenille
Où je suis monté
Que je sente les guenilles
De ce monde tout à côté
Et ces milliers de familles
Se glisser, se glisser

Gerard Manset.... (ext)

Belle nuit les poètes 🙂
XYZ414
Contributeur Confirmé

Bonjour les poètes un petit passage pour vous saluer à mon retour de vacancesimage.jpg

 

image.jpg

 

A bientôt portée vous bien .amis de la poésie

Alwena
Contributeur Master

Hello, Chahine, c'est Beau !!! Cœur Contente de te revoir ....

 

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Souvenir d'errances

 

Tendrement lovée contre Toi

Dans un coin houleux du cockpit

Je lève les yeux vers le ciel

Noire fluorescence

Déchirée d'éclats de perles

 

Fiançailles évanescentes

Je sais que cette romance

S'arrêtera là

Au firmament des errances

Des âmes soeurs d'Océan

 

L'écume éclate opalescente

De l'étrave jusqu'au gouvernail

Tisse une gerbe d'étoiles

Crépite comme feu de paille

Allons, voguons,

 

De Cythère à Orion

Unis dans la même galère

Qui fait de nous, pauvres terriens

Des êtres de sang et de chair

Eclaboussures d'Amour un jour

 

Et puis le lendemain plus rien

Si ce n'est cette blessure

Déjà ancrée dans nos doigts

Endurcis comme la corde

Raidie sur le cabestan

 

Sous les assauts de la vague

Sel,  soleil mêlés au vent

Mais folle mélodie marine

Emporte nos âmes, divine.

Peu importe les errances

 

Quand de l'amour les ardeurs

Tanguent, roulent et puis chavirent

Des coeurs en délires.

Douce mousson d'étincelles

De Vega et d'Altaïr,

 

O Célestes Amants...

 

 

Deneb fait du roulis

Dans mon quart de rhum

Vite je reprends la barre

Ce n'était qu'un somme.

 

Le foc s'arrondit,

Sous Eole, brise et bise

Eclatent de joie

Se cajolent et puis s'affolent

 

Chacun ses émois

 

 

 

Femme très heureuse c'est pas très académique mais je m'applique Femme MDR  !!  bises

 

XYZ414
Contributeur Confirmé

Ah bah oui quoi PORTEZ vous bien .

Elle a raison  il est bizarre ce smartphone.

C'est très beau alwena. Un vrai poisson lyre comme dit syrphe.

Je repasserai bientot vous rendre visite. Pour l'instant je suis tout  à  la 1er femme de ma vie.

Très bonne soirée  Les poètes  animaux-moutons-00007.gif

XYZ422
Contributeur Confirmé
bonsoir..me suis trompée de post pas grave .je tenais à te féliciter alw pour ta poésie c'est super bonne nuit à tout le club des poètes et ceux qui passent par ici .à bientôt bise
XYZ000
Visiteur

Hey ! ! ! chahine... heureuse de te lire Smiley heureux portez-vous bien mes poètes... take care ma sweet bee Cœur

Aaah... ma langoustine... ta poésie te ressemble... pleine, éblouissante, amoureuse, aventureuse, merveilleuse... merciii!!!

belle soirée mes étoiles

.

 

Alwena
Contributeur Master
Lol ... Merci beaucoup , vos compliments sont à votre image : généreux , chaleureux , tout l'honneur vous revient car vous célébrez sans cesse la Vie, la Beauté , l'amour , le partage , c'est Vous qui êtes formidables ! Bisous à tous , passez une douce nuit :):):)
XYZ414
Contributeur Confirmé
Comme toi alwena. Bonne journée à toutes et tous
XYZ422
Contributeur Confirmé

Mon regard a changé

 

J'ai vu plusieurs fois

Ma dernière seconde

J'ai touché du doigt

Le mystère sans sonde

C'est ce chemin de croix

Qui me sortit de l'ombre

Pour apprendre à vivre

Dès petites joies fecondes

C'est comme ca que mon regard

A changé sur le monde.

 

J'ai vu des océans 

Et le ciel se confondre

À travers des deserts

Et des pays prospères,

Ou l'amour bien souvent

A tombé ses frontières,

Pour aider des enfants

Ou pleuvent des bombes

C'est pourquoi mon regard

A changé sur le monde,

 

Au pays ou j'irai 

Pour le dernier voyage

Je n'emporterai rien,

Rien qu'un peu de vous même.

Le jour où je suis née

J'étais nue comme un ver,

J'appartiens à la terre

Et quand viendra mon heure

Je m'y endormirai 

Comme je suis née hier,

Toute nue comme un ver,

 

Inutile.d'accumuler

Dès fortunes des bibelots,

Se serait bien trop lourd

Pour s'envoler la haut,

Le jour où on s'en va

On emporte rien avec soit

J'ai choisi l'infortune 

L'amour et l'amitié

Et je suis bien plus riche

D'avoir reçu et donné

C'est pourquoi mon regard

A changé sur le monde.

 

J'ai appris à aimer

Et à tendre la main

C'est comme ca que j'avance

En aidant mon prochain

Qui lui même m'aida 

Lorsque j'allais pas bien,

Je garde toujours ce point d'horizon

Car c'est lui qui un jour

à posé mon regard

 Vers un  nouveau monde

 

Cabanis-Takare à képi le 21/12/12image.jpg

 

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