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Bonjour à toutes et tous,
"Notre langue française s'abîme,
Comme un vieux livre de cuisine..."
Début de la chanson "Bibliothèque Mazarine"- Julien Clerc.
Merci à vous de la restaurer, même si ce n'est que le temps d'un post...
Je ne sais pas, comme vous construire de jolies phrases, mais l'essentiel est de participer n'est-ce pas ?
Les Martin-Dupont étaient fins prêts à sortir, la calèche les attendait en bas, dans la rue,
Madame avait pris soin de mettre son faux c.u.l sous sa robe de taffetas,
et Monsieur, comme de coutume, arborait son air de faux-jeton.
A bientôt
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Qu'ouï-je ? "Le temps d'un post" ! Vous évoquez, chère, ces petits messages que nous proposons à la publication dans notre gazette.
Mais vous ne pouvez qu'être pardonnée, la gaieté et vos jolies phrases sont armes redoutables.
Je vous souhaite la bonne journée.
Votre dévoué,
Hation de Créaux-Lise
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Je souhaite bien le bonjour à toute la coterie ainsi qu'à vous, Sieur Créo.
J'accuse, à l'instant réception de votre écrit, qui, comme à l'accoutumée, est marqué aux coins du bon sens.
En effet, il eut été plus judicieux que j'utilisasse le terme de publication en lieu et place de ce mot qui prend ses origines Outre Manche. Voyez-vous, iceux se glissent de manière si insidieuse dans notre joli langage, que j'ai fort malencontreusement employé ce mot à mon insu. Mais, ne dit-on pas de nos jours, "je vais au "Club" alors que naguère, nous nous rendions au "Cercle".
De nos jours, Las ! Tout part à vau-l'eau, mon Bon Seigneur.
Je reste votre obligée,
Dame Y Hienda
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Aux fins fonds de la campagne vivait Sieur Fulbert. Ce vieux grigou, cauteleux de surcroît, sous des dehors patelins, pratiquait l'usure sans vergogne.
Grippe-sous, f.e.s.s.e-mathieu à l'extrême, il n'avait de cesse de remplir sa besace.
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Bonjour dame yenda, sieur Créo, gents damoiseaux et damoiselles
Dame yenda souffrez que je vous offre à admirer ce bel amoureux
Si bel acteur dans "Fanfan la Tulipe"
Rodrigue : le Cid (Corneille)
Lorenzaccio d'Alfred de Musset
Scène 1
Un jardin - Clair de lune - un pavillon dans le fond, un autre sur le devant
Entrent le DUC et LORENZO, couverts de leurs manteaux, GIOMO une lanterne à la main.
LE DUC - Qu'elle se fasse attendre encore un quart d'heure, et je m'en
vais. Il fait un froid de tous les diables.
LORENZO - Patience, altesse, patience.
LE DUC - Elle devait sortir de chez sa mère à minuit ; il est minuit, et
elle ne vient pourtant pas.
LORENZO - Si elle ne vient pas, dites que je suis un sot, et que la vielle
mère est une honnête femme.
LE DUC - Entrailles du pape ! avec tout cela je suis volé d'un millier de
ducats.
LORENZO - Nous n'avons avancé que moitié. Je réponds à la petite. Deux
grands yeux languissant cela ne trompe pas. Quoi de plus
curieux pour le connaisseur que la débauche à la mamelle ?
Voir dans une enfant de quinze ans la rouée à venir. Et quel
trésor que celle-ci ! Jamais je n'ai humé dans une atmosphère
enfantine plus exquise odeur de courtisanerie.
LE DUC - Sacrebleu ! je ne vois pas le signal. Il faut pourtant que j'aille
au bal chez Nasi : c'est aujourd'hui qu'il marie sa fille
GIOMO - Allons au pavillon, monseigneur. Puisqu'il ne s'agit que
d'emporter une fille qui est à moitié payée, nous pouvons
bien taper aux carreaux.
LE DUC - Viens par ici, le Hongrois a raison.
Quelle diction, quelle prestance il était digne de représenter tous ces chefs d'oeuvres de la littérature.
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24/01/2014 17h59
Rendez-vous au pré... lorsque les derniers rais du soleil disparaîtront, nous croiserons le fer et
par ma foi, je compte vous faire ravaler vos outrages... 🙂 😉
C' est pour rigoler, oh ! eh ! hein ? Bon !!!
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Tout doux messire fra, remettez-vous. Demain dès l'aube je serai votre témoin. Sortez votre estoc que diantre et ce fénelon périra par la lame acérée, son sang rougeoira le pré
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Ah ! Mes amis, Mcp, Lajuliette, Créo et Fra,
Quel régal ! Que tout cela est bon, que tout cela est beau, je bois du petit lait en vous lisant.
Mille mercis vous accompagnent à cette heure du crépuscule.