- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
Bonjour les poétes,bon week end ![]()
Aimé Césaire
Moi Laminaire : La force de regarder demain
La force de regarder demain
les baisers des météorites
le féroce dépoitraillement des volcans à partir de jeux d’aigle
la poussée des sous‑continents arc‑boutés eux aussi aux passions sous‑marines
la montagne qui descend ses cavalcades à grand galop de roches contagieuses
ma parole capturant des colères soleils à calculer mon être natif natal
cyclopes violets des cyclones n’importe l’insolent tison
silex haut à brûler la nuit épuisée d’un doute à renaître
la force de regarder demain
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
choses connues :
Balme.Aravis
mes cols aimes.
Cols.de.fourrures blanches l'hiver
Chales champetres l'été.
Loin des villes et du bruit
loin des radios.télés
des antennes telephoniques ,
Seul de temps à autre l'été
Quand une vache aux alpages
remue les cornes et chasse l'insecte .
On entend le son de sa clarine
qui résonne cristalline
qui vient fendre le silence ,
du temple des monts
et l'écho lui répond symbaline.
Quand ce n'est pas un aigle
planant dans le ciel qui poudroie
temoignant de son vol
En jetant son cri d'effroi .
Nature belle.et sauvage
relief des vies ancestrales
torrents rivières cascades
Roches poudrees dorees ,
qu'on croirait couvertes d'or
ou roches mica aux couleurs arc-en ciel
Baies myrtilles et framboisieres
Chanterelles et trompe la mort
orchidees sauvages arnicas
j'aimerais que mes os en cendres
se mêlent à votre.terre
vous me manquez si fort .
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
Es tu le mirage qui tracerait le sourire sur mon visage ?
Le lustre étincelant, l’éclaireur de mon obscur paysage ?
Griserais-tu mon cœur ? Le prendrais-tu en otage ?
Haverais-tu ton nom tout au long de son rivage…
Altère mon destin si tu n’y appartiens point
L’aube sans soleil prendrait certainement fin
Invente nous une histoire, écris la avec ardeur
Sème-y des germes d’amour et de bonheur
Assurons-les, on va certes les cueillir
Qu’elles soient garnies de respect, gaieté et de plaisirs
Orné de tous ces hommes, à mes yeux tu es roi
Ultime joyau entouré de drap de soie
Bienveillante à mon altesse ainsi je serais
Inondée d’amour et de tendresse à toi seul je les offrirais
Rhita Benjelloun,,, Lueur en pleine nuit
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
Aux femmes,
S’il arrivait un jour, en quelque lieu sur terre,
Qu’une entre vous vraiment comprît sa tâche austère,
Si, dans le sentier rude avançant lentement,
Cette âme s’arrêtait à quelque dévouement,
Si c’était la Bonté sous les cieux descendue,
Vers tous les malheureux la main toujours tendue,
Si l’époux, si l’enfant à ce cœur ont puisé,
Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé,
Femmes, enviez-la. Tandis que dans la foule
Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule,
Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné,
Elle a sa foi, son but et son labeur donné.
Enviez-la. Qu’il souffre ou combatte, c’est Elle
Que l’homme à son secours incessamment appelle,
Sa joie et son appui, son trésor sous les cieux,
Qu’il pressentait de l’âme et qu’il cherchait des yeux,
La colombe au cou blanc qu’un vent du ciel ramène
Vers cette arche en danger de la famille humaine,
Qui, des saintes hauteurs en ce morne séjour,
Pour branche d’olivier a rapporté l’amour.
Et que votre cœur flotte, au hasard entraîné,
Elle a sa foi, son but et son labeur donné.
Enviez-la ! Qu’il souffre ou combatte, c’est Elle
Que l’homme à son secours incessamment appelle,
Sa joie et son espoir, son rayon sous les cieux,
Qu’il pressentait de l’âme et qu’il cherchait des yeux,
La colombe au cou blanc qu’un vent du ciel ramène
Vers cette arche en danger de la famille humaine,
Qui, des saintes hauteurs en ce morne séjour,
Pour branche d’olivier a rapporté l’amour.
Louise Ackermann, Paris, 1835
------------------
Bonne nuit mes p'tits loups ![]()
Juju = lumières ![]()

- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
<p>merci a vous toutes et tous . je n'ai meme pas le droit d'approuver je ne suis plus rosame . mais mon coeur reste le meme .
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
Noel !Noel a l'indigent
il faudrait bien un peu d'argent
pour acheter du pain des nippes
petits enfants petits jesus
des argents que vous avez eus
il aurait bourre bien des p.i.p.e.s
Nole ! Noel! les amoureux
sont biens heureux car c'est pour eux
qu'est fait le manteau gris des brumes
sonnez cloches cloches sonnez !
le pauvre diable dans son nez
entend carillonner les rhumes
Noel ! noel ! des devots
s'en vont.chanter comme.des veaux
pres de l'ane aupres de la creche
notre trouverait plus neuf
de manger un morceau de boeuf
et dit que ca sent la chair fraiche
Noel ! noel! ca sent les reveillons
les bons grands feux pleins de rayons
et la boustifaille et la joie
le jambon rose aux bords tremblants
le boudin noir et le vin blanc
et les marrons pondus par l'oie
et le miserable la bas
voit la creche comme un cabas
bondé de viande de ripaille
et dans lequel surtout lui plaît
un beau petit cochon de lait
c'est l'enfant jésus sur la paille
Noël! Noël! le prêtre dit
que dieu parmi nous descendit
pour consoler le pauvre here
celui ci voudrait bien un peu
boire à la santé du bon dieu
mais dieu n'a rien mis dans son verre
Noël! on ferme allons va-t'en !
heureux encore si Satan
qui chez nous ce jour la s'égare
le fait de trouver dans le ruisseau
quelques os ou reste un bon morceau
et quelques moities de cigare
Noël ! noël les malheureux
n'ont rien pour eux que ventre creux
qui tout bas grogne comme fauve
si bien que le bourgeois voyant
leur œil dans l'ombre flamboyant
au lieu de leur donner se sauvent
JEAN RICHEPIN
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
au lieu de donner se sauve .
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
29/12/2013 14h40
Bonjour petit Scarabée Sophia MaJuju Wes Fra Al et toute âme de la Poésie,
T'inquiète Abeille, on saura t'excuser si quelques petites erreurs et autres. Tu as déjà bien du mérite, toi et d'autres, de taper le texte (pas comme moi qui fait du copié-collé). Le principal est de partager, apprécier, découvrir....
Bon dimanche à vous!
- Marquer comme nouveau
- Ajouter aux favoris
- S'abonner à ce post
- S'abonner au fil RSS de ce post
- Imprimer
- Signaler
<p>mon pti lutin.t'es trop mignonne mais le copie colle pas toujours facile .mon fils m'a montre .mais je suis bete insecte abeille je bzzzone rien . mais ca me fait.plaisir ce que tu dis luth thym .
Dans la.detresse les bons amis... Patience l'herbe deviendra du lait.

