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Bisous,bonne nuit Rosame,et tous ceux qui passeront ici
une autre de Grands Corps Malade
T’es pas encore arrivé,
Avec ta mère on s’impatiente
Elle, elle commence à fatiguer
Puis il faut voir l’état d’son ventre
Parait que tu te cache là d’sous
On communique à notre façon
Quand j’te parle tu donnes des coups
J’ai tes mouvements, tu as mes sons.
Bin ouai sa nous pendait au nez
Faire un enfant c’était d’notre âge
Et puis a force de trop s’aimer
On laisse une trace de notre partage
T’es pas encore là mais déjà je vois beaucoup de chose différemment
Tu vas bousculer ma vie, définitivement.
J’sais pas encore la tête que t’as
Mais déjà j’te trouve beau gosse
J’voudrais t’avoir au creux d’mon bras
Et caresser tes premières bosses
J’aimerai t’acheter tes premiers jeans
Et ta première pair de basket
J’ai même envie de changer tes couches
Enfin ça, sa changera p’tetre…
J’peux pas encore tout t’raconter
Là quand j’te parle, ta mère écoute
Mais t’inquiètes dès qu’tu seras né
On aura nos secrets, tu t’en doutes
Je t’apprendrai même à faire des blagues
Et si jamais on s’fait griller
Toi tu diras qu’c’est ma faute
Moi j’dirai qu’c’est toi qui as eu l’idée
J’ai déjà la rage contre t’es profs, quand ils donneront trop de devoirs
Si t’as des mauvais points de conduites
Sa seras pas vraiment un hazard
Je t’engueulerai quand même pour la forme
Mais au fond de moi, évidemment,
Je s’rai de ton côté, définitivement.
Je t’apprendrai à observer
Et à écouter les gens
Tu m’apprendras à m’inquiéter
J’espère que tu seras indulgent
Je t’enseignerai la prudence
Tu m’apprendras l’incertitude
Tu m’apprendras les nuits blanches
Je t’enseignerai la gratitude
Tu verras que parfois la vie c’est dure
J’essaierai pas de t’le cacher
On se casse la **bleep** à coup sur
Quand on apprend à marcher
J’aurai envie de te protéger
Mais j’essaierai de pas être trop lourd
Je mettrai mon amour de fer
Dans une apparence de velours
Je te préviens je fait mal la bouffe
Et je pourrai pas jouer au ballon
Mais je trouverai d’autres trucs à faire
Pour qu’tu sois fière de ton daron
Je s’rai un peu ton pot, un peu ton frère
Mais pour m’fâcher
Faudra que je sois un peu père
Quand j’te dirai d’aller t’coucher
T’es pas encore arrivé
Mais déjà qu’est que j’te kiffe
Dans mon p’tit quotidien t’as changé tout mes objectifs
Avant de penser à quoi que se soit je penserai à toi
Tu vas clairement, changer mon sens des priorités, définitivement
Alors voilà dépêche un peu
Il reste 3 mois à galérer
Tu dois être serré dans ton pieu
Faudrait qu’tu pense à t’aérer
Ici y a plein de belles choses à voir
Y a la montagne, et y à la mer
Le soleil, la lune les étoiles
Et puis les yeux d’ta mère
Aller mon gas dépêche un peu
J’ai envie d’entendre ta voix
On t’a même trouvé un prénom
Si tu l’aimes pas, tant pis pour toi
J’ai l’impression de rêver
T’es la meilleure chose, assurément
Qui me soit jamais arrivé, définitivement
J’ai l’impression de rêver
T’es la meilleure chose, assurément
Qui me soit jamais arrivé.
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Bonsoir Rosame,belle chanson,je te souhaite un bon week end,en voilà une autre chanson d'amour,tout le monde la connait,je pense,bisous à toute la communauté
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne peut pas dormir
Ne peut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie
Et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Cabrel
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Bonne nuit Rosame et tous les poètes
Victor Hugo
Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure,
Quand tu me vois pâlir, femme aux cheveux dorés,
Comme le premier jour, comme la première heure,
Rien qu'en touchant ta robe et ses plis adorés ;
Quand tu vois que les mots me manquent pour te dire
Tout ce dont tu remplis mon sein tumultueux ;
Lorsqu'en me regardant tu sens que ton sourire
M'enivre par degrés et fait briller mes yeux ;
Quand ma voix, sous le feu de ta douce prunelle,
Tremble en ma bouche émue impuissante à parler,
Comme un craintif oiseau tout à coup pris par l'aile
Qui frissonne éperdu sans pouvoir s'envoler ;
Ô bel être créé pour des sphères meilleures,
Dis, après tant de deuils, de désespoirs, d'ennuis,
Et tant d'amers chagrins et tant de tristes heures
Qui souvent font tes jours plus mornes que des nuits ;
Oh ! dis, ne sens-tu pas se lever dans ton âme
L'amour vrai, l'amour pur, adorable lueur,
L'amour, flambeau de l'homme, étoile de la femme,
Mystérieux soleil du monde intérieur !
Ne sens-tu pas, dis-moi, passer sur ta paupière
Le souffle du matin, des ténèbres vainqueur ?
Ne vient-il pas des voix tout bas te dire : espère !
N'entends-tu pas un chant dans l'ombre de ton coeur
Oh ! recueille ce chant, âme blessée et fière !
Cette aube qui se lève en toi, c'est le vrai jour.
Ne crains plus rien ! Dieu fit tes yeux pour la lumière,
Ton âme pour le ciel et ton coeur pour l'amour !
Regarde rayonner sur ton destin moins sombre
Ce soleil de l'amour qui pour jamais te luit,
Qui, même après la mort, brille sorti de l'ombre,
Qui n'a pas de couchant et n'aura pas de nuit !
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<p>. re.bonjour chere Sophia .[[ CHERCHEURS D'EAU ]] G.Chelon ....refrain . Ils ont coupe les arbres .Ils ont vole nos ruisseaux . Ils ont chasse les nuages .et nous on manque d'eau...) .Ils ont sorti les armes Ils disent qu'on est de trop .On a meme plus de larmes tellement on manque d'eau .On ete des nomades On menait les troupeaux .Aux maigres paturages On etait chercheurs d'eau .On nous a mis en cages Dans des parcs a bestiaux . Memes dans les mirages. on ne trouve plus d'eau . Le monde nous regarde certains chantent pour nous .Une goutte de sable .Dans une mer de cailloux ( refrain ) On est des millions sans patrie .que le monde abandonne .Qui tombe dans l'oubli ... Toujours une frontiere et toujour des barrieres pour ne plus revenir. Qu'on soit chasse d'Afrique ou du moyent orient . Pour nous les ameriques c'est quand meme des camps .C'est toujours la misere .... Avec ou sans eau c'est encore un desert .Meme sur des bateaux ....Le monde nous regarde certains chantent pour nous .Qu'Allah ou Dieu les garde de finir comme nous ...On est des millions d'hommes sans terre sans patrie .Que le monde abandonne Qui tombe dans l'oubli toujours une frontiere , Qu'on nous force a franchir et toujours des barrieres pour ne plus revenir .On nous a tout prit... ♥♥♥ Chere sophia je te souhaite une bonne semaine. je dois m'absenter. quelques temps. ( non pas des vacances .)
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Bonsoir les poètes,une chanson de Ferrat
Que serais-je sans toi
{Refrain:}
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu´un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement?
J´ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j´ai vu désormais le monde à ta façon
J´ai tout appris de toi, comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme, au passant qui chante, on reprend sa chanson
J´ai tout appris de toi jusqu´au sens du frisson
{au Refrain}
J´ai tout appris de toi, pour ce qui me concerne,
Qu´il fait jour à midi, qu´un ciel peut être bleu,
Que le bonheur n´est pas un quinquet de taverne
Tu m´as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l´homme ne sait plus ce que c´est qu´être deux
Tu m´as pris par la main comme un amant heureux
{au Refrain}
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes,
N´est-ce pas un sanglot de la déconvenue,
Une corde brisée aux doigts du guitariste?
Et pourtant, je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues,
Terre, terre, voici ses rades inconnues
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Une autre de Gérard Lenorman,"IL"
Il habite dans le froid
Il n´a plus ni père ni mère
Il habite dans les bois
Il ne connaît que l´hiver
Il a treize ans aujourd´hui
Il n´a plus un seul ami je crois
Parfois il rêve la nuit
Parfois il coupe son bois
Oui mais il parle aux oiseaux
Au soleil et aux forêts
Oui mais il parle aux ruisseaux parfois
Quand le temps n´est pas trop froid
Il ne lit pas les journaux
Il connait cela par cœur déjà
Il n´écoute pas la radio
Il préfère couper son bois
Oui mais il parle aux oiseaux
Au soleil et aux forêts
Oui mais il parle aux ruisseaux parfois
Quand le temps n´est pas trop froid
Oui mais il parle aux oiseaux
Au soleil et aux forêts
Oui mais il parle aux ruisseaux parfois
Quand le temps n´est pas trop froid
La la la la...
Oui mais il parle aux oiseaux
Au soleil et aux forêts
Oui mais il parle aux ruisseaux parfois
Quand le temps n´est pas trop froid....
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Une autre chanson de Cabrel,bonjour les poètes
Nos pas dans les mêmes empreintes
Vers les mêmes lendemains
Nos habits sur les mêmes cintres
Qu'est-ce que t'en dis ?
Nos couverts sur la même table
Nos corps dans le même bain
Nos châteaux dans le même sable
Qu'est-ce que t'en dis ?
Deux âmes jumelles, parallèles, assorties
Ça peut paraître sommaire ou banal
Oh, l'ordinaire parcours
Et si c'était au contraire au final...
Nos héros sur la même estrade
Nos laisses sur le même chien
Nos portraits dans le même cadre
Qu'est-ce que t'en dis ?
Nos impers derrière la même porte
Et de qui aurions-nous besoin ?
Chacun dans la chaleur de l'autre
Qu'est-ce que t'en dis ?
Deux coeurs ordinaires, locataires, à crédit
Ça peut paraître sommaire ou banal
Oh, l'ordinaire parcours
Et si c'était au contraire au final
De l'amour
Dans nos passés tout cabossés
Dans nos petits coeurs d'occase
Lorsque se seront effacées les ardoises
On pourra s'offrir un répit
Un tapis de laine épaisse
Et en dessous ensemble enfouir
Nos éternelles promesses
Qu'est-ce que t'en dis ?
Et quand le monde devra disparaître
Vendu, fendu, mal en point
On nous aura oubliés peut-être
Qu'est-ce que t'en dis ?
Alors, nos pas dans les mêmes empreintes
Vers les mêmes lendemains
Nos habits sur les mêmes cintres
Qu'est-ce que t'en dis ?
Deux âmes jumelles, parallèles, assorties
Ça peut paraître sommaire ou banal
Oh, l'ordinaire parcours
Et si c'était au contraire au final
De l'amour
Qu'est-ce que t'en dis ?
Qu'est-ce que t'en dis de l'amour ?
Qu'est-ce que t'en dis ?
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JE REVIENDRAI (Alexis HK)
Où que j'aille, souvent j'entends battre le coeur
De ceux qui m'ont aimé et sont partis ailleurs
De ceux qui m'ont donné les belles années de mon enfance.
Refrain (2x) :
Je reviendrai auprès des amis et des rires
Des racines et des souvenirs.
Quand j'aurai traversé tous les horizons,
Voyagé sur des terres si loin de ma maison,
Vu les plages infinies et les vague-à-l'âme de l'errance,
Refrain 2x
Quand j'aurai visité tous les monts et les merveilles,
Senti toutes les ondes chaudes du soleil,
Vu les neiges éternelles et les déserts peuplés de souffrance,
Où que j'aille, souvent j'entends battre le coeur
De ceux qui m'ont aimé et m'ont rendu meilleur,
De ceux qui m'ont aidé à garder espérance.
Refrain.