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Alwena
Contributeur Master

Paroles  de la chanson  : Ballade en novembre

 

de Anne Vanderlove (j'aime bien...)

Qu'on me laisse à mes souvenirs,
Qu'on me laisse à mes amours mortes,
Il est temps de fermer la porte,
Il se fait temps d'aller dormir
Je n'étais pas toujours bien mise
J'avais les cheveux dans les yeux
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois bien qu'il m'aimait un peu

{Refrain:}
Il pleut
Sur le jardin, sur le rivage
Et si j'ai de l'eau dans les yeux
C'est qu'il me pleut
Sur le visage.

Le vent du Nord qui s'amoncelle
S'amuse seul dans mes cheveux
Je n'étais pas toujours bien belle,
Mais je crois qu'il m'aimait un peu
Ma robe a toujours ses reprises
Et j'ai toujours les cheveux fous
Mais c'est ainsi qu'il m'avait prise,
Je crois que je l'aimais beaucoup

{Refrain}

Si j'ai fondu tant de chandelles
Depuis le temps qu'on ne s'est vus
Et si je lui reste fidèle,
A quoi me sert tant de vertu ?
Qu'on me laisse à mes amours mortes !
Qu'on me laisse à mes souvenirs
Mais avant de fermer la porte,
Qu'on me laisse le temps d'en rire
Le temps d'essayer d'en sourire...

Il pleut, sur le jardin sur le rivage

Et si j'ai de l'eau dans les yeux

C'est qu'il me pleut sur le visage....

 

 

 

Bonne nuit à tous...................

utilisateur_supprimé
Non applicable
Belle nuit amigos 🙂

Tous deux ils regardaient, de la haute terrasse,
L'Egypte s'endormir sous un ciel étouffant
Et le fleuve, à travers le Delta noir qu'il fend,
Vers Bubaste ou Saïs rouler son onde grasse.

Et le Romain sentait sous la lourde cuirasse,
Soldat captif berçant le sommeil d'un enfant,
Ployer et défaillir sur son coeur triomphant
Le corps voluptueux que son étreinte embrasse

Tournant sa tête pâle entre ses cheveux bruns
Vers celui qu'enivraient d'invincibles parfums,
Elle tendit sa bouche et ses prunelles claires;

Et sur elle courbé, l'ardent Impérator
Vit dans ses larges yeux étoilés de points d'or
Toute une mer immense où fuyaient les galères

Antoine et Cléopâtre
José Maria de Heredia, Les trophées 1893
XYZ132
Contributeur Loisir

<p>bonjour les poetes revenus . ¡¡¡ oula Alwena tu me plonges quelques annees en arriere avec anne. je l'ai connu . lorsqu'elle est venue au plateau d'assy a guebriant . le centre de vacances ou  j'etais l'infiemiere  des petits et grands .elle est venue chanter pour nous . elle a un peu la voix de barbara.  elle etat d'une gentilesse toute naturelle mais toujours  une tristesse ou une reverie  au fond des yeux. mon fils bebe a l'epoque.  qu'elle avait  pris dans les bras lui a. plonge bien audacieux  les mains dans le decollete...nous  ca l'l'a fait bien rire nous aussi .: Bon alors voila si tu ne l'a pas encore fais....regarde  sur youtube  la video  de cette chanson.  et je la propose aussi a Sophia  qui je crois aimera. ainsi qu'a heart. CETTE ANNEE LA  .cette annee la en Fevrier il avait neige  le jeudi .Un drole de destin  m'a jetee au bord  de ma vie  Il suffit de presque rien , une porte soudain  claquee ....Ne jetez pas  la pierre au chien  perdu qui meurt dans un fosse ."bis" J'ai decouvert cette annee la  ce que c'est qu'etre miserable  .gout sale d'une vie qui  s'en va ...

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XYZ209
Contributeur Confirmé
Derrière la haute haie du visible

Il y a
les voix de nos mémoires
aimantées
par l'eau-forte des mots

Il y a

la rivière mon alliée
quand le passage à gué d'un visage
guette

un lâcher de colombes
pour émanciper le ciel

mes faiblesses
dont je fais silex

Forcément

il y a

des silences blancs
que l'on chevauche
dans l'inexplicable.

Anne-Marielle WILWERTH
sophia57
Contributeur Confirmé

Bonsoir les poétes,Rosame,Fra,CréoSmiley clignant de l'œil,Lajuliette,Heart,Alwena et toute la communauté

 

Je te donne


Riche du désert de mon cri
Je, scribouilleur sous-saigné
Te donne à fleurs de mots
La nuit qui postillonne
À l’enfant ses étoiles.
Je ne veux pas pour toi
D’une vie sans histoires
Tu as droit au rire
Éclaté des bourgeons
Tu as droit d’affouage
Aux forêts du bonheur
Droit à ce goût qui nous vient
De plus loin que nos rêves
Au goût d’un jour fumé
Jusqu’au bout du mégot
Au goût de pomme à naître
A l’arbre de nos faims.
Je te donne la Vie
A cueillir mon amour
Aux branches basses des poèmes
Je voudrais qu’il t’en reste à jamais
Une saveur de fruit mûr
Comme un soleil fondu
Dans la bouche du temps.
Il y a tant de promesses
Nées aux lèvres des chemins
Tant de désirs qui nous attendent
Devant la porte des mémoires…
Qu’apparaisse enfin ce pays
Où l’arbre de l’instant éternel
Me cache la forêt des souvenirs
En ce premier matin de la vie
Je compte nos soleils
Au bord du bonheur.

 

Jacques Viallebesset, l’écorce des cœurs

 

XYZ209
Contributeur Confirmé
Bôjoo Rose à Frisbee 🙂 Bôjoo les freaks 🙂
Extrait de ''Le Monde'' :

Renvoyer le monde au monde,
c'est le faire entrer.

Quitter le monde,
c'est le quitter quitte.

*
Un brin d'herbe dans le monde
en est l'échelle, sa mise à l'échelle.

La goutte d'eau est l'essence de la mer.
Le peu est le plein du monde.
Le surnuméraire en constitue l'architecture
Le surcroît en est l'affleurement.

Tout ce qui existe, même fragile, surtout fragile,
soutient sans faille l'existence de ce qui est.
L'être est dans le monde comme une nappe
souterraine plantée de ses fontaines.

Le grain de sable est la roue du monde.

*
Le monde, c'est quand l'arbre cache
la forêt, quand la feuille couvre
la honte de l'arbre
et quand la nervure entrouvre un chemin.

L'obstacle, la haie où mange
le cheval du monde.
(...)

Laurent ALBARRACIN
sophia57
Contributeur Confirmé

Bonne nuit les poétes et toutes et tous

Françoise Hardy

 

Si mi caballero
J´aimerais bien être
La blanche poussière
Qui suit ton troupeau

Si mi caballero
Il me suffirait
D´être ce brin d´herbe
Qui colle à ta peau

Cette maison blanche
Entourée de fleurs
Pendant ton absence
Est comme un tombeau

Si j´étais poussière
Moi je te suivrais
Si j´étais brin d´herbe
Tu m´emmènerais

Je me ferais douce
Aux portes du sommeil
Je me ferais source
Quand brûle le soleil

Si mi caballero
Il me suffirait
Sur tes lèvres sèches
D´être goutte d´eau.

sophia57
Contributeur Confirmé

Bonjour les poétes,Rosame,Fra,CréoSmiley clignant de l'œil,Alwena,HeartCœur,sister et toutes et tous

Yves DUTEIL

Dans l'eau de ses silences

 

Le jour qui vient de naître
Dessine la fenêtre
Au mur de la vieille chambre
Et peint septembre aux couleurs d´ambre

Une larme qui perle
Et vient de rouler sur sa joue
Petite vague qui déferle
Dans son sommeil
Alors que tout semblait si doux
D´où vient ce chagrin qui s´éveille
Pour se glisser dans son cou?

Dans l´eau de ses silences
Je bois son cœur immense
Jusqu´aux sources de ses peines
Je l´aime et même

Au cœur de la tempête
Aux soirs de nos défaites
Le soleil qui brille au port
C´est elle, c´est elle encore

Elle ouvre la fenêtre
Se blottit contre moi
Tout doucement, la vie va renaître
Aux couleurs d´ambre de septembre

Quand l´eau de ses silences
Déborde dans ses yeux
Que j´entrevois la mer immense
De ses secrets
Je découvre peu à peu
Sous l´azur de ses blessures
Des trésors si fabuleux

Au bout de mon voyage
J´aurai pour seul bagage
Cet amour dont elle inonde
Le monde, le monde

À l´eau de ses silences
J´ai bu tant d´espérance
J´ai reçu comme un baptême
Je l´aime et même

Les fleurs de son sourire
Le ciel que je respire
Et l´étoile qui mène au port
C´est elle, c´est elle encore

sophia57
Contributeur Confirmé

 

Louis Aragon - Que la vie en vaut la peine (Extrait)

 

C'est une chose étrange à la fin que le monde
Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit
Ces moments de bonheur ces midi d 'incendie
la nuit immense et noire aux déchirures blondes

Rien n'est si précieux peut être qu'on le croit
D'autres viennent ils ont le cœur que j' ai moi même
Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime
et rêver dans le noir où s'éteignent des voix

D' autres qui feront comme moi le voyage
D'autres qui souriront d'un enfant rencontré
Qui se retourneront pour leur nom murmuré
D'autres qui lèveront les yeux vers les nuages

Il ya toujours un couple frémissant
Pour qui ce matin là sera l'aube première
Il y aura toujours l 'eau le vent la lumière
Rien ne passe après tout si ce n 'est le passant.

 

Bonne nuit à toute la communauté Femme heureuse

Alwena
Contributeur Master

un festival de jolis poèmes to day ....  bravo...

 

... Il suffirait de presque rien de Serge Reggiani

 

Il suffirait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"
Que je te prenne par la main
Pour t´emmener à Saint-Germain
T´offrir un autre café-crème

Mais pourquoi faire du cinéma
Fillette allons regarde-moi
Et vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi même ferais semblant d´y croire

Vraiment de quoi aurions-nous l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

Il suffirait de presque rien
Pourtant personne tu le sais bien
Ne repasse par sa jeunesse
Ne sois pas stupide et comprends
Si j´avais comme toi vingt ans
Je te couvrirais de promesses

Allons bon voilà ton sourire
Qui tourne à l´eau et qui chavire
Je ne veux pas que tu sois triste
Imagine ta vie demain
Tout à côté d´un clown en train
De faire son dernier tour de piste

Vraiment de quoi aurais-tu l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

C´est un autre que moi demain
Qui t´emmènera à St-Germain
Prendre le premier café crème
Il suffisait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"

 

 

 

iris.png

 

 

 

iris1.jpg je le trouve rigolo

 

on dirait qu'il tire la langue cet iris Femme tirant la langue  

 

Belle nuit sous le ciel étoilé ... là-haut derrière les nuages voyez les étoiles, Sirius, Rigel la bleue et Betelgeuse la rouge....  

 

biz à tous

 

 

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