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Bonjour les poétes et toutes et tous encore Céline Dion
Je sais pas (J.j Goldman)
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, ça m'effraie pas
J'sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, ça j'ai appris
J'suis pas victime, j'suis pas colombe
Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je savais le silence depuis longtemps
J'en sais la violence, son goût de sang
Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j'en ai pas peur
Je sais me défendre, j'ai bien appris
On est pas des tendres par ici
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j'ai cru tenir
J'voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je sais pas
Je sais pas
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<p> je passe faire un coucou a mes poetes ami(es sophia juju heart fratello alwena tossa . .creo bien sur. ( j'ai pas tout compris le poeme . et coucou a tous les autre du comptoir de discution- MICHEL .QUOIST- :Comme si les morts existaient!!! Il n'y a pas de morts ; Il n'y a que des vivants sur terre . La mort existe ? Elle n'est qu'un moment une seconde un pas ...Le pas de provisoire au definitif. Le pas du temporel a l'eternel .....Ainsi meurt l'enfant quand vient l'adolescence ...La chenille quand s'envole le papillon ...Le.grain. quand s'annonce l'epi ...("") Ils sont pres de moi mes morts ; Je les sais qu'ils vivent dans l'ombre ; Je ne les touches plus de mes yeux , car ils ont un moment abandonne leur enveloppe charnelle ...Comme on laisse un vetement use ou demode ...Leur ame privee de leur deguisement ne fait plus signe ..("") Mais je les entends qui" m'appellent " quand je leve les yeux vers les etoiles ou dans mes reves ...Quand de jours je les invoque , je les vois qui m'invitent ...Je les ecoutent qui me conseillent ; car ils me sont d'avantage presents et savent deja eux au trepas des frontieres , ce qu'un jours nous saurons quand nous les rejoindrons ...nous en rirons ou pleureront("") Jadis nos chairs se touchaient ; mais non pas nos ames .Maintenant je les rencontre ...lorsque je vous rencontre ...Je les recois ...lorsque je vous recois ...Je les porte ...lorsque je vous porte ...Je les aime ...lorsque je vous aime ("") Aidez moi a apprendre en cette vie courte a vivre eternellement ("") Je vous aime et veux eterniser cet Amour entre vous et moi. MICHEL QUOIST.
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27/09/2013 09h29
Dans la clairière
Pour plus d'agilité, pour le loyal duel,
Les témoins ont jugé qu'Elles se battraient nues.
Les causes du combat resteront inconnues ;
Les deux ont dit : Motif tout individuel.
La blonde a le corps blanc, plantureux, sensuel;
Le sang rougit ses seins et ses lèvres charnues.
La brune a le corps d'ambre et des formes ténues ;
Les cheveux noir-bleu font ombre au regard cruel.
Cette haie où l'on a jeté chemise et robe,
Ce corps qui tour à tour s'avance ou se dérobe,
Ces seins dont la fureur fait se dresser les bouts,
Ces battements de fer, ces sifflantes caresses,
Tout paraît amuser ce jeune homme à l'oeil doux
Qui fume en regardant se tuer ses maîtresses.
Charles Cros, Le collier de griffes, 1908
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27/09/2013 13h20
BOnjour,
Je vous propose un extrai de "l'invitation au voyage" de Charles Baudelaire mon poète préféré.
Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
+++
Somptueux 🙂
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Bonsoir les poétes,Rosame,et toute la communauté
I
Viens, ô toi que j'adore,
Ton pas est plus joyeux
Que le vent des cieux ;
Viens, les yeux de l'aurore
Sont divins, mais tes yeux
Me regardent mieux.
Avril, c'est la jeunesse ;
Viens, sortons, la maison,
L'enclos, la prison,
Le foyer, la sagesse,
N'ont jamais eu raison
Contre la saison.
Pour peu que tu le veuilles,
Nous serons heureux ; vois,
L'aube est sur les toits,
Et l'eau court sous les feuilles,
Et l'on entend des voix
Du ciel dans les bois.
Toutes les douces choses,
L'hirondelle au retour
Dans la vieille tour,
Les chansons et les roses
Et la clarté du jour,
Sont faites d'amour.
Aimer, c'est la première
Des lois du Dieu clément.
Le bois est charmant ;
Et c'est de la lumière,
Et c'est du firmament
Qu'on fait en aimant.
Belle, à la mort tout change ;
Le ciel s'ouvre, embaumé,
Superbe, enflammé,
Et nous dit : viens ! sois ange !
Mais qui n'a pas aimé
Le trouve fermé.
II
Mai dans les bois recèle
Les amours innocents,
Les amours innocents,
L'homme en est l'étincelle,
Les amours innocents,
La femme en est l'encens.
Couchez-vous sur la mousse
Dans le beau mois de mai ;
Dans le beau mois de mai,
La chose la plus douce
Dans le beau mois de mai
C'est quand on est aimé.
Parcourez les charmilles,
Les sources, les buissons,
Les sources, les buissons ;
Autour des jeunes filles,
Les sources, les buissons
Chanteront des chansons.
Sitôt qu'une femme aime,
Au fond de son esprit,
Au fond de son esprit
Brille l'aube elle-même ;
Au fond de son esprit
Une rose fleurit.
Vous qui voulez des flammes,
Vous qui voulez des fleurs,
Vous qui voulez des fleurs,
Cherchez-en dans les âmes ;
Vous qui voulez des fleurs,
Cherchez-en dans les coeurs.
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LAZY RIVER
Up a lazy river by the ole mill run
That lazy river in the noon day sun
Linger in the shade of an ole oak tree
Throw away your troubles, dream a dream with me
Up a lazy river where the robins song
Awaits a bright new mornin where we can lope along
Blue skys up above
Every ones in love
Up a lazy river how happy we can be
Up a lazy river
With me...
Performed by Bing Crosby
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Bonjour les poétes et toutes et tous
Francis Cabrel
Comme les matins sur la montagne
Elle a les yeux presque aussi clairs
Que les murs blancs du fond de l'Espagne
Le bleu nuit de ses rêves m'attire
Même si elle connaît les mots qui déchirent
J'ai promis de ne jamais mentir
À la fille qui m'accompagne
Au fond de son jeu de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J'ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu'elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
On s'est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Elle prendra jamais mon cœur pour un hôtel
Je dirai les mots qu'elle attend
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l'autre moitié de mes secrets
Je sais qu'une autre nuit s'avance
Lorsque j'entends glisser ses colliers
Un jour je bâtirai un empire
Avec tous nos instants de plaisirs
Pour que plus jamais rien ne m'éloigne
De la fille qui m'accompagne
On s'est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Je prendrai jamais son cœur pour un hôtel
Elle dira les mots que j'attends
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l'autre moitié de mes délires
Elle sait déjà qu'entre elle et moi
Plus y a d'espace et moins je respire