XYZ422
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aimer c'est plus que vivre: Gerliner

 

 

 je pleure poemes de P arré par Gerliner    

De P carré

 

 

trés beau poêmes  par Gérard Berliner , c'est quelques pensées   pour  NOËL   à bien y réfléchir . 

XYZ000
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Allons ! voyageur inconnu viens avec moi !

Plus jamais tu ne te lasseras de ton voyage.

 

La terre n'est jamais lasse,

Frustre, taciturne, lente à comprendre, c'est son image au premier abord,

Oui mais ne te décourage pas, avance, les secrets divins sont bien enveloppés,

Je te jure qu'il existe des secrets divins dont nos mots sont incapables de dire la beauté.

 

Allons ! on ne s'arrête pas en route,

Douceur de trésors secrets ou amitié du lieu, on ne s'arrête pourtant pas,

Calme du havre, tranquillité des eaux, on ne jette nulle part l'ancre,

Hospitalité des environs, on a tout juste le droit d'en jouir

un petit peu en passant.

 

Chanson de la piste ouverte, Feuilles d'herbe. Walt Whitman.

XYZ422
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cette miinute même qui m'arrive , portée par des dizaines et des dizaines de milliards d'années passées...

Rien ne la vaut! rien ne vaut cet instant , W.W

 

 

MERCI JUJU

 

 

 

 

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Toi lecteur , palpitante vie et fierté , et amour,

tout comme moi pour toi donc,  Les chants que voici .

Je lance mon aboiement  barbare  par dessus les toits du monde.

 

Je me célèbre ,et mes vérités  seront tiennes ,

Car tout atôme qui m'appartient  -- t'appartient aussi à toi .

Je paresse et invite mon âme ,

Je me penche et paresse à mon aise *

Tout à la contemplation d'un brin d'herbe  d'été .

 

Maisons et piéces regorgent de mille parfums ...

Les étagéres débordent  de parfums ,

J'en respire moi même  l'arôme , je  le connais et je l'aime

Cette quintessence  pourrait m'enivrer  à mon tour ,

mais je saurais lui resister ...

 

L'air n'est pas un parfum ...

il n'a pas goût  de cette quintessence  ,il est inodore

Il s'offre éternellement à ma bouche...

Jen suis épris .

 

Je veux aller sur le talus prés des bois

j'ôterai  mon déguisement et me mettrai  nu,

je brûle de sentir son contact , la buée de mon propre souffle ,

Echos, clapotis, et murmures feutrés...

Racine  d'amour, fil de soie,   fourche et vigne ,

Mon expiration, mon inspiration ...

Les battements de mon coeur ;;;

Le passage du sang dans mes poumons ,

Lodeur des feuilles vertes ,et des feuilles séches ,

Du rivages , et des rochers sombres  de la mer, du foin dans les granges,

Le son des mots éructés  par ma voix...

Mots livrés aux tourbillons  du vent, Des bai.sers à la dérobade ...

Quelques étreintes...Des bras qui enlacent ,

le jeu de la lumiére et  de l'ombre sur les arbres

aux branches  souples qui ondulent

 

W.W 

 

 

 

 

XYZ000
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Millibars de l'orage

 

N'apaisons pas le jour et sortons la face nue face aux pays inconnus qui coupent aux oiseaux leur sifflet

le guet-apens s'ouvre le long d'un bruit de confins de planètes

ne fais pas attention aux chenilles qui tissent souple mais seuleument aux millibars qui se plantent dans le mille d'un orage

à délivrer l'espace où se hérissent le coeur des choses et la venue de l'homme

 

Rêve n'apaisons pas

parmi les clous de chevaux fous

un bruit de larmes qui tâtonne vers l'aile immense des paupières

 

Aimé Césaire

 

 

 

 

Bizzz mes poètes Cœur je vous aime Belle soirée

cnx13
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bonjour lajuliette tres bein ton poeme  amitier cnx

XYZ000
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bsr cnx13 Smiley heureux  bsr les poètes omh Smiley très heureux

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Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !
— Qu’est-ce que c’est que tous ceux-là ! – Vous êtes mille ?
Ah ! je vous reconnais, tous mes vieux ennemis !
Le Mensonge ?

(Il frappe de son épée le vide.)

 

Le Mensonge ?Tiens, tiens ! -Ha ! ha ! les Compromis,
Les Préjugés, les Lâchetés !…

(Il frappe.)

 

Les Préjugés, les Lâchetés !…Que je pactise ?
Jamais, jamais ! -Ah ! te voilà, toi, la Sottise !
— Je sais bien qu’à la fin vous me mettrez à bas ;
N’importe : je me bats ! je me bats ! je me bats !

(Il fait des moulinets immenses et s’arrête haletant.)

 

Oui, vous m’arrachez tout, le laurier et la rose !
Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose
Que j’emporte, et ce soir, quand j’entrerai chez Dieu,
Mon salut balaiera largement le seuil bleu,
Quelque chose que sans un pli, sans une tache,
J’emporte malgré vous,

(Il s’élance l’épée haute.)

 

J’emporte malgré vous,et c’est…

(L’épée s’échappe de ses mains, il chancelle, tombe dans les bras de Le Bret et de Ragueneau.)

 

 
Roxane, se penchant sur lui et lui baisant le front.

 

J’emporte malgré vous,et c’est…C’est ?…

 
Cyrano, rouvre les yeux, la reconnaît et dit en souriant.

 

J’emporte malgré vous,et c’est…C’est ?…Mon panache.

Rideau.

C’est à l’âme de CYRANO que je voulais dédier ce poème.

Mais puisqu’elle a passé en vous, COQUELIN, c’est à vous que je le dédie.

 

for my Bee Cœur

E. R.

 

 

cnx13
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bonjour lajuiellete encore un tres tres beau poeme bravo

XYZ000
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Bravo BRAVO aux poètes d'hier et d'aujourd'hui... ces génies qui écrivent la vie avec grâce et singularité... ces hommes et ces femmes qui dissèquent leurs émotions par des mots, çà paraît léger mais c'est si précis... si vrai... si essentiel

Je t'embrasss ma sweet bee. et my Heart ausiii. et Wes oh ouiii. et Rapsode Yeahhh.

cnx13
Visiteur

bonjour lajuiellette merci pour tes poeme ne pas oublier romeo

XYZ422
Contributeur Confirmé

Attention la !!   ""vous me CHATouillez de trop prés la moustache !!!

 

Je suis responsable de ce que j'écris ,mais certainement pas de ce que vous lisez ou  comprenez  ou pas !

 

DOMMAGE.

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