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XYZ414
Contributeur Confirmé

Bonsoir alwena .j'ai vu ...

Probablement des images de misère  heurtant la sensibilité du robot . Faut pas montrer ce qui derange il y en avait une que squarabee avait prise dans  sa revue mensuelle ACF. c'est pas grave .9521534-enfants-en-situation-de-pauvrete.jpg

 

Quoi que ? 

 

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utilisateur_supprimé
Non applicable
Jeune fille, ton cœur avec nous veut se taire
Tu fuis, tu ne ris plus ; rien ne saurait te plaire.
La soie à tes travaux offre en vain des couleurs;
L'aiguille sous tes doigts n'anime plus des fleurs.
Tu n'aimes qu'à rêver, muette, seule, errante,
Et la rose pâlit sur ta bouche mourante.
Ah ! mon œil est savant et depuis plus d'un jour,
Et ce n'est pas à moi qu'on peut cacher l'amour.
Les belles font aimer ; elles aiment. Les belles
Nous charment tous. Heureux qui peut être aimé d'elles !
Sois tendre, même faible (on doit l'être un moment),
Fidèle, si tu peux. Mais conte moi comment,
Quel jeune homme aux yeux bleus, empressé sans audace,
Aux cheveux noirs, au front plein de charme et de grâce.

Tu rougis ? On dirait que je t'ai dit son nom.
Je le connais pourtant. Autour de ta maison
C'est lui qui va, qui vient ; et, laissant ton ouvrage,
Tu cours, sans te montrer, épier son passage.
Il fuit vite ; et ton œil, sur sa trace accouru,
Le suit encor longtemps quand il a disparu.
Nul, en ce bois voisin où trois fêtes brillantes
Font voler au printemps nos nymphes triomphantes,
Nul n'a sa noble aisance et son habile main
À soumettre un coursier aux volontés du frein.

André Chénier, Élégies, 1787 , Jeune fille, ton cœur
On pense à toi Abeill, belle journée les poètes
XYZ414
Contributeur Confirmé

Merci pour elle fra .Et un bon anniversaire à sophia de sa part .

Et ce soir je m'absente pour un moment .stages obligent  , ou mo. Dragon de mère va me remonter les bretelles . «une main de fer dans un gant de velours» ...

Méfions nous des eaux calmes . Je plaisante  Man!!! 🙂anniversaire_022.jpganniversaire_001.jpganniversaire_016.jpg

sophia57
Contributeur Confirmé

Bonjour les poètes,merci Chahine et gros bisous à Squarabee,bonne récupération Femme très heureuse,excellente journée à toutes et tous Femme très heureuse

Victor Hugo  La légende des siècles

 

IX VIRGILE

 

 

 

Déesses, ouvrez-moi l'Hélicon maintenant.
Ô bergers, le hallier sauvage est surprenant ;
On y distingue au loin de confuses descentes
D'hommes ailés, mêlés à des nymphes dansantes ;
Des clartés en chantant passent, et je les suis.
Les bois me laissent faire et savent qui je suis.
Ô pasteurs, j'ai Mantoue et j'aurai Parthénope ;
Comme le taureau-dieu pressé du pied d'Europe,
Mon vers, tout parfumé de roses et de lys,
A l'empreinte du frais talon d'Amaryllis ;
Les filles aux yeux bleus courent dans mes églogues ;
Bacchus avec ses lynx, Diane avec ses dogues,
Errent, sans déranger une branche, à travers
Mes poëmes, et Faune est dans mes antres verts.
Quel qu'il soit, et fût-il consul, fût-il édile,
Le passant ne pourra rencontrer mon idylle
Sans trouble, et, tout à coup, voyant devant ses pas
Une pomme rouler et fuir, ne saura pas
Si dans votre épaisseur sacrée elle est jetée,
Forêts, pour Atalante, ou bien par Galatée.
Mes vers seront si purs qu'après les avoir lus
Lycoris ne pourra que sourire à Gallus.
La forêt où je chante est charmante et superbe ;
Je veux qu'un divin songe y soit couché dans l'herbe,
Et que l'homme et la femme, ayant mon âme entre eux,
S'ils entrent dans l'églogue en sortent amoureux.

 

Alwena
Contributeur Master

Merci Sophia, j'aime tjrs autant V.Hugo....Femme heureuse Merci Fra pour tous tes beaux partages,Femme heureuse  merci Chahine,Femme heureuse Juju Femme heureuse Bee Femme heureuse, Heart, Femme heureuse et tous les poètes ... et à tous de gros bisous

 

Donne-moi tes mains pour l’inquiétude
Donne-moi tes mains dont j’ai tant rêvé
Dont j’ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi te mains que je sois sauvé.

Lorsque je les prends à mon pauvre piège
De paume et de peur de hâte et d’émoi
Lorsque je les prends comme une eau de neige
Qui fond de partout dans mes main à moi..

Sauras-tu jamais ce qui me traverse
Ce qui me bouleverse et qui m’envahit?
Sauras-tu jamais ce qui me transperce
Ce que j’ai trahi quand j’ai tressailli?

Ce que dit ainsi le profond langage
Ce parler muet de sens animaux
Sans bouche et sans yeux miroir sans image
Ce frémir d’aimer qui n’a pas de mots..

Sauras-tu jamais ce que les doigts pensent
D’une proie entre eux un instant tenue
Sauras-tu jamais ce que leur silence
Un éclair aura connu d’inconnu

Donne-moi tes mains que mon coeur s’y forme
S’y taise le monde au moins un moment
Donne-moi tes mains que mon âme y dorme
Que mon âme y dorme éternellement..

 

Extrait du « Fou d’Elsa »,

 

 

Alwena
Contributeur Master

Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir,
et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,
et d’oublier ce qu’il faut oublier. Je vous souhaite des passions.  Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil
et des rires d’enfants.
Je vous souhaite de résister à l’enlisement,
à l’indifférence,
aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d’être vous.

 

Jacques Brel

 

 

Bonne fin de journée à tous ...Femme heureuse

Alwena
Contributeur Master

Bonsoir les poètes...Femme heureuse  bises Squarabee et toutes, tous ....

 

Disparus.Femme clignant de l'œil

 

 

 

Ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock ´n ´Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
où est l´ombre des Shadows
des Byrds, des Doors
des Animals
des Moody Blues
séparés Mac Cartney
Georges Harrison
et Ringo Starr
et John Lennon -

ex-fan des sixties
petite Baby Doll
comme tu dansais bien le Rock ´n ´Roll
ex-fan des sixties
où sont tes années folles
que sont devenues toutes tes idoles -
Disparus Brian Jones
Jim Morrison
Eddy Cochran
Buddy
Holly
idem Jimi Hendrix
Otis Redding
Janis Joplin
T.Rex
Elvis

 

Serge Gainsbourg

Alwena
Contributeur Master

Pour Bee, j'aime la galette Femme très heureuse  la la la , Bisous ...

 

 

 

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Bonjour à toutes, tous ....Femme heureuse

 

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Dis, quand reviendras-tu .... BARBARA

 

Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu es reparti,
Tu m´as dit cette fois, c´est le dernier voyage,
Pour nos cœurs déchirés, c´est le dernier naufrage,
Au printemps, tu verras, je serai de retour,
Le printemps, c´est joli pour se parler d´amour,
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,
Et déambulerons dans les rues de Paris,

Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,

Le printemps s´est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d´automne,
Soudain je m´alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
Ton image me hante, je te parle tout bas,
Et j´ai le mal d´amour, et j´ai le mal de toi,

Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,

J´ai beau t´aimer encore, j´ai beau t´aimer toujours,
J´ai beau n´aimer que toi, j´ai beau t´aimer d´amour,
Si tu ne comprends pas qu´il te faut revenir,
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs,
Je reprendrai la route, le monde m´émerveille,
J´irai me réchauffer à un autre soleil,
Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin,
Je n´ai pas la vertu des femmes de marins,

Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus...

 

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utilisateur_supprimé
Non applicable
Le Pauvre Gars

Il était une fois un gars si laid, si laid
Et si bête ! qu'aucune fille ne voulait
Lui faire seulement l'aumône d'un sourire ;
Or, d'avoir trop longtemps souffert l'affreux martyre
De ne pas être aimé lorsque chante l'amour,
Le pauvre gars s'en vint à mourir un beau jour...
On l'emmena dormir au fond du cimetière,
Mais, son âme, un Avril, s'échappa de la terre
Et devint une fleur sur sa tombe, une fleur
Qu'une fille cueillit et mit près de son cœur.

Gaston Couté

Belle journée à tous... bizzz Abeill * * *
utilisateur_supprimé
Non applicable
Candide, après le déjeuner, se promenant dans une longue galerie, fut surpris de la beauté des tableaux. Il demanda de quel maître étaient les deux premiers. << Ils sont de Raphaël, dit le sénateur ; je les achetai fort cher par vanité, il y a quelques années ; on dit que c'est ce qu'il y a de plus beau en Italie, mais ils ne me plaisent point du tout : la couleur est très rembrunie, lesfigures ne sont pas assez arrondies, et ne sortent point assez ; les draperies ne ressemblent en rien à une étoffe : en un mot, quoi qu'on en dise, je ne trouve point là une imitation vraie de la nature. Je n'aimerai un tableau que quand je croirai voir la nature elle-même...

ext. Candide de Voltaire

Affectueuses pensées Rose âme

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